Dansle 5e volet, "La Vengeance de Salazar", Jack défiera son ennemi juré, le pirate fantôme Salazar, incarné par Javier Bardem. La visite de Depp ce mercredi à Disneyland n'est pas une
Publié le lundi 5 Juin 2017 à 15h48 L'acteur ne souhaite plus jouer ce rôle emblématique de "Pirates des Caraïbes". Attention, si nous n'avez pas encore vu le film "Pirates des Caraïbes La Vengeance de Salazar" cet article contient des spoilers. Geoffrey Rush a joué le Capitaine Hector Barbossa pendant 14 ans, plus récemment dans Pirates des Caraïbes La Vengeance de Salazar. Malgré tout, l'acteur tire sa révérence. " J'ai dit au producteur Jerry Bruckheimer, ''Je crois que c'est la fin pour Barbossa'', a-t-il expliqué à TooFab … Perdre un personnage important, c'est assez bien. Ca fait sens, et ça ne sonne pas comme un dénouement dramatique facile. " Dans le dernier film, Hector Barbossa, devenu un très riche pirate, commande tout une flotte de bateaux, et se sacrifie pour sa fille Carina. La franchise ressuscite souvent des personnages d'entre les morts, mais Geoffrey Rush l'assure, cette fois, ça n'arrivera pas. " Je crois que la notion de sacrifice altruiste serait dévalué si soudain on disait ''Allez, ramenons-le, parce qu'il faut faire des entrées et que tout le monde aimait Barbossa. "Jerry Bruckheimer, lui, aimerait pourtant qu'il en soit autrement. " On ne sait jamais avec nous. On peut toujours faire revenir des personnages quand on les aime, et on l'aime ", a-t-il confié, face à Geoffrey Rush qui a confirmé que lorsqu'il y avait un désir à Hollywood, il y avait une possibilité. " Ils peuvent trouver quelque chose. Ou il peut revenir, comme le père d'Hamlet, comme un fantôme, et juste ennuyer Jack avec ses mots de sagesse ", a-t-il ajouté. Geoffrey Rush, 65 ans, a joué le Capitaine Barbossa dans le premier volet de Pirates des Caraïbes en 2003, et jusqu'au dernier épisode. © Cover Media
JackSparrow et ses compagnons se lancent dans la quête du Trident de Poséidon, sur lequel le Capitaine Teague détient des informations précieuses.
La franchise Pirates des Caraïbes connaîtra un nouveau départ sous la houlette de l’actrice Margot Robbie. Disney, dans une volonté de moderniser et féminiser ses franchises, veut accorder une place nette à une héroïne sur une de ses sagas vitrine. Pirates des Caraïbes est, en effet, une poule aux œufs d’or pour la firme aux grandes oreilles. Les cinq films ont rapporté milliards de dollars de recettes internationales et même le dernier film La vengeance de Salazar », que beaucoup qualifient comme une déception, a enregistré 794 millions de dollars de recettes. Preuve au final que la franchise est gage de solidité au box-office. Pourtant, Pirates des Caraïbes a grandement souffert d’un point particulier l’imbroglio autour de Johnny Depp, l’interprète de Jack Sparrow. Le comédien de 58 ans est devenu le pilier des films et son personnage un point névralgique de la pop-culture. Pourtant, ses tourments judiciaires contre Amber Heard ont tout bouleversé. Limogé de la saga des Animaux Fantastiques où il incarnait le rôle de Gellert Grindelwald, boycotté par Hollywood pour la sortie de Minamata, son dernier film, l’acteur est devenu persona non-grata auprès des maisons de productions. Malgré sa récompense au festival du film de San Sebastian, sa carrière semble s’inscrire en pointillés. Il est aussi évincé de Pirates des Caraïbes, où malgré les demandes de Jerry Bruckheimer pour le conserver, Disney fait la sourde oreille. Et pour cause la maison de Mickey veut prendre une décision drastique qui ne plait pas aux fans rebooter entièrement la saga, évincer Johnny Depp et tout organiser autour de Margot Robbie, qui avait précédemment annoncer vouloir une tonalité Girl Power » pour ce nouveau long-métrage. Sauf que ce nouveau projet semble bien parti pour répéter quelques erreurs de la franchise précédente. Alors que Pirates des Caraïbes la malédiction du Black Pearl présentait un trio de personnages composé de Jack Sparrow Johnny Depp, Will Turner Orlando Bloom et Elizabeth Swann Keira Knightley, les volets suivants de la franchise s’organisaient uniquement autour de Jack Sparrow et son histoire de dette avec Davy Jones, puis sur le passé entre Jack et le Capitaine Salazar dans le cinquième film. Les fans avaient apprécié le premier film et s’étaient attachés à Jack a posteriori du visionnage. Ce qui a permis à Disney de capitaliser ensuite sur le personnage dans les suivants. En vendant directement ce reboot féminin comme gravitant autour de Margot Robbie, Disney se tire une balle dans le pied et force en quelque sorte ses spectateurs à s’attacher à un personnage qu’ils verront sur probablement une longue durée. Pirates des Caraïbes Les scénaristes du reboot quittent le navire ! Avec Johnny Depp en Sparrow, un effet de lassitude commençait à se faire ressentir chez les fans. En effet, Pirates des Caraïbes 4 et 5, qui se concentraient presque exclusivement sur le Capitaine du Black Pearl, sont ceux qui ont eu les plus mauvaises critiques 33% d’avis positifs pour La Fontaine de Jouvence et 29% pour la Vengeance de Salazar. Les fans étaient fatigués par l’omniprésence de Johnny Depp et cela pourrait être répété si la pirate de Margot Robbie est beaucoup trop mise en avant. Peut-être pas sur le premier film, mais de la lassitude et un désintéressement des fans pourrait intervenir rapidement. Margot Robbie semble pour le moment botter en touche sur son éventuelle participation, confirmant il y a quelques jours dans un podcast qu’il était encore trop tôt pour qu’elle donne une réponse. En 2019, Disney a embauché les scénaristes Craig Mazin Chernobyl et Ted Elliott, avec Joachim Ronning derrière la caméra. Si l’idée du président de Disney, Sean Bailey, est de donner un renouveau total à la franchise, il n’y a encore que trop peu d’informations concernant l’intrigue et la place laissée à Johnny Depp qui est, avec cette nouvelle époque des réseaux sociaux, encore incertaine. Aujourd’hui, la force de caractère des fans sur les réseaux sociaux a soulevé des montagnes Le redesign de Sonic pour le film de Jeff Fowler, la sortie de la Snyder Cut et nul doute que le comédien derrière Willy Wonka et le Chapelier Fou pourrait revenir sur le devant de la scène en fonction de l’évolution de ses procès contre Amber Heard. Quoi qu’il arrive, Disney pourrait certainement tabler sur une semi-continuité en développant une histoire inédite dans un monde préexistant puisque Davy Jones, apprécié des fans, et son interprète Bill Nighy semblent ouvrir la porte pour un retour tout comme d’autres comédiens et comédiennes Kaya Scodelario en Carina Smyth ou Lee Arenberg en Pintel. Mais en organisant sa nouvelle histoire uniquement autour de Margot Robbie, Disney prends le risque, si son personnage déplaît aux fans, de rapidement voir son reboot de Pirates des Caraïbes prendre l’eau.
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Action Fantastique Aventure Pirates des Caraïbes la vengeance de Salazar est ce soir à 21h10 sur M6. Elle est loin la surprise du premier Pirates des Caraïbes, sorti à l'été 2003 pour mettre fin à la légendaire poisse des films de pirates au box-office. Quatorze ans et quatre suites plus tard, le Jack Sparrow de Johnny Depp est ainsi redevenu une simple marque, fidèle à ses humbles origines puisque le film est tiré d'une attraction des parcs de Mickey. Mais une question demeure y a t-il encore des fans intéressés par Pirates des Caraïbes 5, énième aventure du héros, et reste t-il encore de bonnes raisons de le suivre ? PIRATOMANE Pirates des Caraïbes La Fontaine de Jouvence n'a peut-être pas marqué les esprits à sa sortie en 2011, mais il n'en reste pas moins une réussite pour le studio puisque deuxième plus gros succès de la franchise 1,04 milliards, après Le Secret du coffre maudit 1,06 milliards. Un temps repoussé pour des questions de budget et face à l'échec de Lone Ranger même acteur, même studio en 2013, ce cinquième film a donc naturellement trouvé la voie vers la lumière, avec à la clé une production énorme et compliquée - le budget de 250 millions a gonflé jusqu'à 320, sans compter le frais marketing non négligeables. Quand les producteurs mettent la pression Pas trop d'inquiétude néanmoins pour les écuries de Mickey, leader du marché du grand spectacle hollywoodien. Mais contre toute attente, ce pur produit qu'est La Vengeance de Salazar n'est pas qu'une tartine numérique et mercantile dédiée à Johnny Depp, redevenu le centre de l'attention après avoir partagé la vedette avec Penelope Cruz dans le précédent opus le cinquième épisode est ainsi un blockbuster simple mais joyeux et régressif, qui retrouve un peu de la magie d'antan pour proposer une odyssée claire et distrayante. Nemo, le remake horrifique TEX JACK AVERY Après la trilogie signée Gore Verbinski et un quatrième opus emballé par Rob Marshall Chicago, Nine, il y a ce parfum familier de giga-franchise avec le casting des Norvégiens Joachim Rønning et Espen Sandberg, duo de réalisateurs remarqué pour des raisons plus ou moins nobles le four Bandidas avec Penelope Cruz, Kon-Tiki nommé à l'Oscar du meilleur film étranger et donc pêché par Hollywood. Côté scénario, il y a Jeff Nathanson, scénariste de comédies plus ou moins volontaires de Steven Spielberg Arrête-moi si tu peux, Le Terminal, Indiana Jones et le royaume des crâne de cristal. L'équation n'est pas rassurante sur le papier, et Pirates des Caraïbes La Vengeance de Salazar bénéficie sans doute de cette attente plus que modérée. La première apparition de Jack Sparrow laisse d'ailleurs craindre le pire le numéro de clown-pirate alcoolisé de Johnny Depp sonne comme une vieille rengaine plus gênante qu'amusante, et la peur de voir ce nouveau film se réduire à cette farce unidimensionnelle se profile. Les fans tiennent Mickey à l'oeil Mais la force de la franchise se situe au-delà de ce personnage, et le film reprend vite le dessus. Qu'un cambriolage se transforme en course-poursuite tonitruante, ridicule, et donc géniale, redonne ce sourire typique de la saga. Pirates des Caraïbes retrouve cette énergie de cartoon réjouissante, capable d'étirer une séquence d'action sur de longues minutes avec une inventivité délicieuse et une générosité affolante. La Vengeance de Salazar ne surpasse pas Le Secret du coffre maudit, qui reste sans aucun doute l'épisode le plus grandiose et extrême, mais retrouve grâce à une guillotine ou quelques requins-fantômes cette énergie revigorante et décomplexée. Le méchant sur son bateau de méchant SOUS L'OCÉAN Ce cinquième film a beau être le plus court de la saga avec près de 2h10 au compteur record indigeste avec 2h48 pour l'un des plus mauvais épisodes, Jusqu'au bout du monde, il ne surmonte pas les faiblesses de la franchise. L'intrigue se résume donc à une énième et laborieuse chasse entre différents groupes, où plusieurs personnages courent les uns après les autres tandis que le heureux hasard en réunit d'autres. La logique interne est plus que faible, et le scénario ne prend même pas la peine d'articuler les différents éléments pour donner l'illusion d'une quelconque cohérence. La saga n'est qu'une gigantesque farce, avec un océan qui se transforme à chaque épisode en terrain de jeu où sont jetés les gentils et les méchants. Le film est un assemblage de set pieces plus ou moins titanesques, qui servent de repères au milieu d'une intrigue à la fois bête et confuse. Que le film brille par ses séquences d'action virevoltantes est très significatif Pirates des Caraïbes n'est jamais aussi séduisant que lorsqu'il assume ne rien raconter. Scénario Cola La Vengeance de Salazar n'a d'ailleurs qu'une foi très limitée en son antagoniste, incarné par Javier Bardem dans ce qui est un choix de casting peu imaginatif - sans surprise, le studio a tenté d'enrôler Christoph Waltz avant lui. L'acteur a beau apporter quelques touches exotiques et over the top à ce pirate moisi, il n'est qu'un outil banal dans l'histoire. C'est probablement l'une des grandes faiblesses du cinquième épisode son incapacité à créer une intrigue digne de ce nom, à mettre sur la route de Jack Sparrow un ennemi solide qui ne rejoindra pas l'interminable liste des bad guys interchangeables des blockbusters actuels. Ailleurs, le film tentera de donner un peu de coeur via une sous-intrigue liée au père de Carina Smyth, l'un des nouveaux personnages interprété par la charmante Kaya Scodelario Skins, Le Labyrinthe. Mais la chose est si maladroite et grossière que la seule émotion suscitée est la gêne. Le fils de Will Turner est censé être le coeur de l'intrigue, mais le pauvre Brenton Thwaites vu et oublié dans Gods of Egypt et Maléfique a un charisme si limité qu'il en ferait regretter Orlando Bloom. L'action prend le pas sur l'intrigue et les personnages, mais c'est presque nécessaire vu la faiblesse des éléments en jeu. Charisme d'huître vs Charisme de légende PIRATAGE Après une Fontaine de Jouvence plongée la moitié du temps dans l'obscurité, La Vengeance de Salazar rallume les lumières et renoue heureusement avec la dimension cartoonesque de la saga. La direction artistique se révèle ainsi charmante, des sbires amochés de Salazar à l'allure de Golshifteh Farahani, malheureusement reléguée au troisième plan. La superproduction achève de séduire les yeux lors de son climax, qui plonge littéralement dans la dimension fantastique de l'univers. Dans une dernière ligne droite réjouissante et visuellement stimulante, le cinquième Pirates des Caraïbes est particulièrement sympathique. Celui qui, guidé par le plaisir, viendra chercher de l'excitation et de l'amusement, sera sans nul doute rassasié. "Comment ça je sens le bigorneau ?" Que l'affiche française soit si grisâtre, comparée aux affiches nettement plus colorées d'autres pays, laisse songeur. Que le spectacle, attrayant mais loin d'être gargantuesque, soit facturé à plus de 300 millions de dollars, également. Lorsque l'aventure s'achève sur des retrouvailles niaises en hommage à la trilogie originale, avec un arrière-goût de reboot pas très fin un nouveau bellâtre blondinet aux cheveux longs, une nouvelle petite aristo au caractère bien trempé, le spectateur pourra retrouver ses esprits et réaliser que l'entreprise tourne en rond. À l'image de Johnny Depp, qui sonne comme un coquillage creux, bercé par un thème musical si usé qu'il en deviendrait quasiment insupportable. La Vengeance de Salazar amuse donc la plupart du temps, grâce à un tempo satisfaisant et quelques morceaux délicieux, mais ne peut lutter contre cette désagréable sensation d'un spectacle un peu tristounet, et presque instantanément ringard, qui a transformé en quelques films une formule spéciale en menu de cantine. Résumé S'il n'invente plus rien et ne raconte presque rien, Pirates des Caraïbes cinquième épisode a au moins le mérite d'offrir une épopée amusante et colorée, illuminée par quelques morceaux d'action réjouissants et délicieusement cartoonesques. Pour celui qui viendra chercher du blockbuster convenable, la mission sera remplie. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique
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Le cinquième Pirates des Caraïbes vaut-il le prix du billet ? Pendant vingt minutes, on y croit, mais alors on y croit à mort. Jack Sparrow et son équipage tentent de dérober un énorme coffre-fort en pleine ville. Mêlant adroitement les actions de trois personnages structurée autour d'un principe commun le vol du coffre, donc, la scène d'ouverture de Pirates des Caraïbes La Vengeance de Salazar rappelle les délires des westerns italiens 70s à la Companeros. Ce qui entraîne ensuite des péripéties très Pirates des Caraïbes, justement, autour d'une guillotine, du vaudou et d'un amiral espagnol mort-vivant. Tout est là pour passer un savoureux moment pop corn AOC Disney, avec un duo de nouveaux héros sympathiques Brenton Thwaites et Kaya Scodelario partis à la chasse au trident de Poséidon à l'aide d'un Johnny Depp qui semble quand même bien s'amuser. C'est surtout Javier Bardem qui bouffe l'écran en Salazar, impitoyable caballero sanguinaire, pourrissant et boiteux. Un triomphe de character design total mêlant avec une maestria bluffante maquillage, numérique le mouvement de ses cheveux flottant dans l'air comme dans l'eau, incroyable et performance du comédien ; ce qui donne les meilleurs moments d'un film qui veut carburer à l'art de la vignette. Mais l'excitation première de l'action pure laisse peu à peu place à un sentiment de déjà vu. La formule se fait sentir sous le vernis la quête du trident se double d'une quête du père merci, encore une fois, aux manuels de scénaristes campbelliens, les scènes d'action sont plus rares que prévues et rien ne fait réellement écarquiller les yeux malgré quelques efforts l'attaque des requins mort-vivants, notamment L'écart de temps entre le mollasson La Fontaine de jouvence 2011 et cette Vengeance-là aurait pu laisser à son producteur Jerry Bruckheimer le temps de repenser la franchise. Ou de ressusciter, à l'instar du superbe Lone Ranger, la dinguerie punk de la trilogie d'origine -avec Gore Verbinski au gouvernail- qui faisait allégrement plonger le blockbuster hollywoodien dans des eaux inconnues au risque de s'effondrer sous ses réjouissants excès. Treize ans après La Malédiction du Black Pearl qui remuait les cartes, La Vengeance de Salazar joue la tranquilité, qui ne s'accorde guère avec la piraterie. RegarderPirates des Caraïbes : La vengeance de Salazar | Film complet | Disney+. 2017. Jack Sparrow est poursuivi par son vieux rival le capitaine Salazar et son équipage de fantômes échappés du Triangle du Diable. Ils sont
Publié le jeudi 27 Avril 2017 à 15h53 Johnny Depp a fait une apparition surprise dans l'attraction à l'origine des films "Pirates des Caraïbes" ! Vidéo... Johnny Depp sera de retour au cinéma le mois prochain dans la peau du personnage vedette de "Pirates des Caraïbes". Toutefois, l'acteur a donné une chance aux visiteurs de Disneyland, en Californie, de l'apercevoir en chair et en os ce mercredi ! Il a en effet ravi ses fans en faisant une apparition surprise dans l'accoutrement du Capitaine Jack Sparrow. La star a interagi avec les personnes se trouvant à bord d'un bateau en prétendant vouloir en prendre les commandes. Il a également accueilli les fans en dehors du bateau en s'appuyant sur le rebord d'un balcon. Ils ont ensuite partagé ses exploits sur les réseaux sociaux. Inspirés à l'origine de l'attraction "Pirate des Caraïbes" de Disneyland, les quatre films relatant les aventures de Jack Sparrow ont généré au total plus de 3,7 milliards de dollars soit environ 3,4 milliards d'euros au box-office mondial. Dans le 5e volet, "La Vengeance de Salazar", Jack défiera son ennemi juré, le pirate fantôme Salazar, incarné par Javier Bardem. La visite de Depp ce mercredi à Disneyland n'est pas une première. Il a en effet plusieurs fois enfilé le costume de son personnage emblématique pour rendre visite à des enfants malades au Great Ormond Street Hospital de Londres. Le comédien a un lien particulier avec cet hôpital puisque sa fille de 17 ans, Lily Rose, y avait été traitée pour son insuffisance rénale en 2007. En s'exprimant au sujet de ses visites dans l'émission de Graham Norton en 2015, Johnny avait affirmé " Quand ma fille était malade à Great Ormond Street hôpital, c'était la période la plus sombre de ma vie. J'avais toujours fait ces visites mais après cette expérience, elles sont devenues de plus en plus importantes. " © Cover Media
RegarderPirates des Caraïbes : La vengeance de Salazar | Film complet | Disney+. 2017. Jack Sparrow est poursuivi par son vieux rival le capitaine Salazar et son équipage de fantômes échappés du Triangle du Diable. Ils sont déterminés à Disponible depuis ce mercredi 24 mai en salles, Pirates des Caraïbes La Vengeance de Salazar parvient à légèrement redorer le blason de la saga, mais à peine plus. Voici notre critique. Rarement une licence aura aussi bien illustré la notion de naufrage au fil des années et de ses épisodes que Pirates des Caraïbes. Après un premier film frais et spécialement apprécié en 2003 et un 2ème opus sympathique mais sans plus en 2006, Walt Disney n’a cessé de descendre toujours plus dans les profondeurs de la médiocrité pour atteindre le summum avec le dernier en date, La Fontaine de Jouvence. En tout cas jusqu’ici, puisque le 5ème film de la licence, Pirates des Caraïbes La Vengeance de Salazar Dead Men Tell No Tales en VO, remonte assurément la barre. Salazar, parce qu’il le vaut bien Dans cette nouvelle aventure, le célèbre Jack Sparrow Johnny Depp n’est que l’ombre de lui-même pire que d’habitude, oui c’est possible. Sans navire ni équipage, le présent et l’avenir du pirate ne sont pas roses, d’autant plus qu’un vieil ennemi, le Capitaine mort-vivant Salazar Javier Bardem, vient de s’échapper du Triangle du Diable avec comme seule motivation d’éradiquer les pirates et se venger de Sparrow responsable de la malédiction qui l’a enfermé là pendant des décennies. Seul moyen pour Sparrow de s’en sortir face à cet ennemi redoutable mettre la main sur le légendaire Trident de Poséidon, unique objet capable de briser les malédictions. Pour cela, il va mettre en place une alliance improbable avec deux jeunes nouveaux personnages également à la recherche du Trident pour leurs propres raisons. Henry Turner Brenton Thwaites, fils de Will Turner, et Carina Smyth Kaya Scodelario, une femme de science dont l’intellect la fait passer pour une sorcière auprès des hommes de l’époque. Johnny Derp Ce nouveau duo de héros a une double vocation proposer une sorte de nouveau départ scénaristique permettant à la fois aux nouveaux venus d’embarquer mais aussi de simplifier une histoire globale devenue trop chargée au fil des films, tout en épaulant activement un Johnny Depp dont le jeu tout en ivresse et désinvolture reste drôle mais déjà vu. Si l’interprétation de Henry pourra sembler cela dit un peu fade, c’est surtout que celle de Carina est pleine de dynamisme et de malice. C’est bien simple, quand Kaya Scodelario est à l’écran elle a tendance à voler la vedette à tous les autres acteurs présents, sauf peut-être au charismatique Javier Bardem dont le rôle de méchant lui va sans surprise comme un gant. D’une durée d’un peu plus de 2h, Pirates des Caraïbes 5 est un véritable exemple de blockbuster Disney. Le film est calibré juste comme il faut au niveau de son rythme pour ne pas s’ennuyer et son intrigue est pensée pour parler aussi bien aux néophytes qu’aux amateurs de la licence. Cela dit ces derniers devraient spécialement apprécier les nombreux détails et révélations liées aux précédents films, quand les autres devront raccrocher quelques wagons comme ils le peuvent sans pour autant avoir le sentiment d’être trop perdus. La recette Disney appliquée un peu trop à la lettre En revanche, qui dit film sorti d’un moule dit manque de surprises. C’est bien simple, avec ses gros sabots scénaristiques Pirates des Caraïbes 5 ne surprend quasiment jamais et comme une attraction Disney ne sort jamais des rails. Quelques situations et dialogues font régulièrement rouler les yeux du spectateur dans leurs orbites tant certains passages sont lourds ou téléphonés, mais heureusement la majorité des scènes et répliques font mouche pour compenser. Le film évite les longs dialogues inutiles et il semble que la leçon des précédents Pirates des Caraïbes a été retenue. Ce 5ème opus se fait aussi spécialement plaisir sur les scènes d’action absurdes renforcées par une musique qui en fait des tonnes aussi et les effets spéciaux, bien que la réalisation de Joachim Ronning et Espen Sandberg nous a semblé plusieurs fois un peu brouillon dans certains combats. Reste que les affrontements en mer et sur terre flattent la rétine et que, globalement, le film fait parfaitement son job de divertissement à gros budget à défaut d’être inoubliable en dehors de quelques scènes qui pourraient rester dans les mémoires. Pirates des Caraïbes 5 notre avis À défaut d’être surprenant, Pirates des Caraïbes 5 est divertissant. Et c’est déjà pas mal. Assurément plus réussi que les derniers opus, ce nouveau film n’est peut-être pas aussi marquant que le premier, mais il évite bien des écueils et lourdeurs qui auraient pu achever la licence en perdition. La Vengeance de Salazar vient ainsi se placer dans la case des blockbusters estivaux qui font leur travail sans guère briller plus, même si les adeptes de la franchise devraient spécialement en apprécier certains éléments. Le RécapSalazar, parce qu’il le vaut bienJohnny DerpLa recette Disney appliquée un peu trop à la lettrePirates des Caraïbes 5 notre avis 2OB57q1. 177 161 116 354 458 271 259 471 355

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