Ainsila Cour de cassation française, par un arrĂȘt du 6 avril 1993, avait reconnu la licĂ©itĂ© de la pratique des dates de valeur, en ce qui concerne la remise des chĂšques Ă l'encaissement, tout en lâinvalidant (absence de cause) pour les opĂ©rations de remise et de retrait d'espĂšces (Cass. com., 6 avril 1993, n° 90-21.198, Bull. civ. IV.).
ï»żRĂ©sumĂ© du document D'aprĂšs Sylvain Hul, la question du respect du principe d'impartialitĂ© par le juge administratif est souvent une affaire de conscience et de circonstance ». Ainsi, au regard de cette citation, l'impartialitĂ© du juge administratif ne pourrait se contrĂŽler qu'au cas par cas en fonction des circonstances du litige. C'est un point de vue que semble partager la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme CEDH dans l'arrĂȘt Union fĂ©dĂ©rale des consommateurs "Que choisir" de CĂŽte-d'Or du 30 juin 2009. En l'espĂšce, la section des travaux publics du Conseil d'Etat a rendu un avis sur un dĂ©cret ministĂ©riel du 25 janvier 2002. En 2003, l'association Union fĂ©dĂ©rale des consommateurs UFC Que choisir » saisi le Conseil d'Etat d'un recours en annulation contre ce mĂȘme dĂ©cret et voir ses requĂȘtes rejetĂ©es. L'association saisie alors la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme pour violation de l'article 6§1 de la Convention relatif notamment au droit Ă ĂȘtre jugĂ© par un tribunal indĂ©pendant et impartial. En effet, cette derniĂšre dĂ©nonce tout d'abord le dĂ©faut d'indĂ©pendance du Conseil d'Etat en ce qu'il relĂšve du chef du gouvernement et qu'il a donc Ă©tĂ© juge et partie dans l'examen de la requĂȘte vise Ă annuler un dĂ©cret ministĂ©riel et en ce qu'il Ă©tait co-auteur du dĂ©cret litigieux vu que ce dernier a Ă©tĂ© pris suite Ă son avis. L'association requĂ©rante dĂ©nonce aussi l'absence d'impartialitĂ© structurelle de la haute juridiction, notamment en raison du cumul de fonction juridictionnelle et administrative qui peut conduire des membres de la juridiction Ă examiner la lĂ©galitĂ© d'un acte sur lequel ils ont dĂ©jĂ rendu un avis. L'Etat français, en s'appuyant sur la jurisprudence antĂ©rieure de la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme a rĂ©torquĂ© que le dualisme fonctionnel du Conseil d'Etat n'Ă©tait pas une violation en soi de l'article 6§1. De plus, en l'espĂšce, aucun membre de la section des travaux publics n'a Ă©tĂ© membre de la formation de jugement et le dĂ©port en sĂ©ance de jugements a toujours Ă©tĂ© systĂ©matique au sein de la Haute juridiction administrative. Enfin, Ă titre subsidiaire, l'Etat ajoute que les questions soumises aux deux sections ne se recouvraient pas. L'organisation structurelle, notamment le cumul des fonctions consultatives et juridictionnelles, du Conseil d'Etat français est-il contraire aux exigences d'indĂ©pendance et d'impartialitĂ© consacrĂ©es par l'article 6§1 de la Convention europĂ©enne des droits de l'Homme ? La Cour europĂ©enne s'est basĂ©e sur sa jurisprudence antĂ©rieure pour rĂ©pondre que le fait que le Conseil d'Etat soit organiquement proche de l'exĂ©cutif ne suffisait pas Ă Ă©tablir le manque d'indĂ©pendance. De plus, en l'espĂšce, la juridiction europĂ©enne a constatĂ© l'absence de membre de la formation administrative dans la formation de jugement, ainsi, elle considĂšre que les craintes de l'association sur la dĂ©pendance et la partialitĂ© de la Haute juridiction ne sont pas justifiĂ©es, et ce sans qu'elle ait besoin d'examiner si les deux formations se sont prononcĂ©es sur la mĂȘme affaire ». La Cour a donc dĂ©clarĂ© qu'il n'y avait pas violation de la Convention, la requĂȘte est irrecevable. La Cour europĂ©enne des droits de l'Homme va tout d'abord dĂ©terminer si la juridiction en cause possĂšde l'indĂ©pendance et l'impartialitĂ© structurelle requise dans les circonstances de l'espĂšce I en s'appuyant sur le principe d'identitĂ© des personnes et des questions juridiques posĂ©es II. Sommaire I. Le refus d'apprĂ©ciation in abstracto de l'indĂ©pendance et de l'impartialitĂ© structurelle de la Haute juridiction administrative A. La recherche de l'indĂ©pendance apparente » du Conseil d'Etat B. L'apprĂ©ciation in concreto de l'indĂ©pendance et de l'impartialitĂ© II. L'apprĂ©ciation de l'indĂ©pendance et de l'impartialitĂ© de la Haute juridiction administrative au regard du principe d'identitĂ© A. L'absence d'identitĂ© entre les membres, une garantie suffisante d'impartialitĂ© B. L'identitĂ© des questions soumises, un motif surabondant Extraits [...] L'Etat français, en s'appuyant sur la jurisprudence antĂ©rieure de la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme a rĂ©torquĂ© que le dualisme fonctionnel du Conseil d'Etat n'Ă©tait pas une violation en soi de l'article 6§1. De plus, en l'espĂšce, aucun membre de la section des travaux publics n'a Ă©tĂ© membre de la formation de jugement et le dĂ©port en sĂ©ance de jugements a toujours Ă©tĂ© systĂ©matique au sein de la Haute juridiction administrative. Enfin, Ă titre subsidiaire, l'Etat ajoute que les questions soumises aux deux sections ne se recouvraient pas. [...] [...] C'est un point de vue que semble partager la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme CEDH dans l'arrĂȘt Union fĂ©dĂ©rale des consommateurs choisirâ de CĂŽte-d'Or du 30 juin 2009. En l'espĂšce, la section des travaux publics du Conseil d'Etat a rendu un avis sur un dĂ©cret ministĂ©riel du 25 janvier 2002. En 2003, l'association Union fĂ©dĂ©rale des consommateurs UFC Que choisir saisi le Conseil d'Etat d'un recours en annulation contre ce mĂȘme dĂ©cret et voir ses requĂȘtes rejetĂ©es. L'association saisie alors la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme pour violation de l'article de la Convention relatif notamment au droit Ă ĂȘtre jugĂ© par un tribunal indĂ©pendant et impartial. [...] [...] L'exercice successif d'une mission administrative et d'une mission juridictionnelle sur un mĂȘme texte entraine une confusion des fonctions du Conseil d'Etat. Cependant, dans l'arrĂȘt UFC Que Choisir la Cour europĂ©enne a pu vĂ©rifier qu'aucun des membres de la section du contentieux n'avait eu Ă donner un avis sur le dĂ©cret litigieux dans le cadre de fonctions administratives. En France, cette absence d'exercice successif est aussi garanti par la pratique du dĂ©port en sĂ©ance de jugement dorĂ©navant codifiĂ© au Code de justice administratif, pratique que l'Etat a rappelĂ© dans ses arguments de dĂ©fense. [...] [...] Elle reprend ensuite les critĂšres dĂ©gagĂ©s dans l'arrĂȘt Campbell & Fell du 28 juin 1984, tels que les modalitĂ©s de nomination des membres ainsi que le dĂ©roulement de leur carriĂšre et les garanties contre les pressions extĂ©rieures. La Cour juge donc que les modalitĂ©s de nomination et de dĂ©roulement de carriĂšre des membres du Conseil d'Etat sont parfaitement compatibles avec les exigences de l'article et suffisent Ă garantir son indĂ©pendance structurelle vis Ă vis du pouvoir exĂ©cutif. Ainsi, l'organisation structurelle de la Haute juridiction ne suffit pas Ă mettre en cause son indĂ©pendance, de mĂȘme, pour dĂ©terminer si le cumul des fonctions administratives et juridictionnelles est un manquement Ă l'article la Cour se doit d'exercer un contrĂŽle in concreto. [...] [...] Ce raisonnement avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© consacrĂ© par le Conseil d'Etat dans l'arrĂȘt ComitĂ© mosellan de sauvegarde de l'enfance, du 6 juillet 1994, dans lequel il avait considĂ©rĂ© que seules des formations identiques pouvaient affecter l'impartialitĂ©. Une des innovations de cet arrĂȘt par rapport Ă la jurisprudence antĂ©rieure, et notamment la dĂ©cision Sacilor-Lormines, c'est que la Cour europĂ©enne des droits de l'Homme se contente de l'absence d'identitĂ© entre les membres pour rejeter la requĂȘte de l'association requĂ©rante sans examiner s'il ya eu identitĂ© entre les questions soumises aux deux formations du Conseil d'Etat. [...]
Selonlâassociation française UFC-Que Choisir, le rĂ©seau social « ne rĂ©ussit pas » Ă protĂ©ger les jeunes. Elle relĂšve des manquements dans la protection contre la publicitĂ© cachĂ©e et
Infos âș Economie âș L'UFC Que Choisir assigne 20 compagnies aĂ©riennes en justice Economie Par 19/05/2020 - 1628 Paris Lâassociation de consommateurs assigne en justice 20 sociĂ©tĂ©s parmi lesquels Air France, Corsair et Air CaraĂŻbes sur la question des remboursements des billets des vols annulĂ©s en pĂ©riode de confinement. Partager l'article sur Lâargument principal de lâassociation UFC Que Choisir dans cette dĂ©marche, câest de dire que les passagers nâont pas vocation Ă ĂȘtre les financiers des compagnies aĂ©riennes ». Depuis lâarrĂȘt du trafic mondial, certaines compagnies font croire aux consommateurs que la situation exceptionnelle de pandĂ©mie leur permettait de ne proposer quâun bon dâachat. Or selon la lĂ©gislation, le voyageur doit se voir proposer soit un nouvel itinĂ©raire, soit un remboursement. Ce dernier reste la rĂšgle et peut se faire sous la forme dâun avoir mais seulement avec lâaccord du client comme la rappeler la semaine derniĂšre la commission europĂ©enne. Air France, Corsair et Air CaraĂŻbes dans le viseur Lâassociation UFC Que Choisir a donc dĂ©cidĂ© d'assigner en justice 20 "principales" compagnies aĂ©riennes parmi lesquelles Air France, Corsair, Air Caraibes mais aussi Ryan Air, Emirates, Transavia ou encore la Lufthansa. La date dâaudience nâa pas encore Ă©tĂ© fixĂ©e mais lâassociation UFC Que Choisir a indiquĂ© quâelle ne sollicite pas de dommages et intĂ©rĂȘts mais souhaite simplement que "les compagnies respectent les droits des consommateurs". Au niveau du gouvernement, le secrĂ©taire dâEtat aux Transports, Jean Baptiste Djebarri, Ă©voque la possibilitĂ© dans un avenir proche, de mettre en place un fond de compensation des voyageurs. Ă lire Ă©galement
VUlâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral cadre n°374 du 29 juin 2015 en vue de la prĂ©servation de la ressource en eau dans le dĂ©partement de la CĂŽte-dâOr modifiĂ© par lâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral n° 1000 du 10 juillet
SociĂ©tĂ© Billets annulĂ©s une association de consommateurs assigne 20 compagnies aĂ©riennes © EPA POOL/AFP/Archives/Ian LANGSDON L'association française de consommateurs UFC-Que Choisir a annoncĂ© mardi qu'elle assignait en justice 20 compagnies aĂ©riennes afin de permettre aux passagers dont le vol a Ă©tĂ© annulĂ© d'avoir le droit de choisir entre un remboursement et un lĂ©gislation europĂ©enne prĂ©voit qu'en cas d'annulation, le voyageur doit se voir proposer soit un nouvel itinĂ©raire, soit un remboursement. Ce dernier reste la rĂšgle, et peut se faire sous forme d'un avoir mais seulement avec l'accord du consommateur, a rappelĂ© la semaine passĂ©e la Commission "certaines compagnies font croire aux consommateurs que la situation particuliĂšre de pandĂ©mie leur permettrait de ne proposer qu'un bon d'achat. D'autres acceptent de rembourser leurs passagers mais en suspendent le paiement jusqu'Ă une date indĂ©terminĂ©e, voire aprĂšs la fin de la crise sanitaire", dĂ©nonce UFC-Que qui avait mis en demeure 57 compagnies en avril, a finalement dĂ©cidĂ© d'en assigner 20, "les principales" selon elle, en "cessation d'agissement illicite" devant le tribunal judiciaire de compagnies visĂ©es sont Air France, KLM, Transavia, Ryanair, Vueling, Lufthansa, Turkish Airlines, Emirates, Royal Air Maroc, Tunisair, Air AlgĂ©rie et TAP Air Portugal mais aussi Volotea, Air CaraĂŻbes, Norwegian, Air Austral, Air Europa, Air Corsica, Corsair et Air date d'audience n'a pas Ă©tĂ© fixĂ©e Ă ce stade. L'association indique qu'elle "ne sollicite pas, pour l'instant, de dommages et intĂ©rĂȘts", mais "souhaite simplement que les compagnies ... respectent les droits des consommateurs" de pouvoir choisir."Les passagers n'ont pas vocation Ă ĂȘtre les financiers des compagnies aĂ©riennes, il y a des banques pour cela", a affirmĂ© Ă l'AFP RaphaĂ«l BartlomĂ©, responsable du service juridique d'UFC-Que Ă genou par l'arrĂȘt du trafic mondial, les compagnies aĂ©riennes se dĂ©fendent en arguant des "contraintes de liquiditĂ© sans prĂ©cĂ©dent", selon A4E, leur principale association A4E, les billets non utilisĂ©s reprĂ©sentent 9,2 milliards d'euros jusqu'Ă la fin mai."Il faut que chacun comprenne qu'on a eu Ă rĂ©agir dans une situation complĂštement inĂ©dite et donc il faut inventer des mĂ©canismes", a rĂ©agi mardi sur BFMTV le secrĂ©taire d'Etat aux Transports Jean-Baptiste Djebbari."Peut-ĂȘtre que pour l'avenir il faudra crĂ©er un fonds de compensation des voyageurs directement portĂ© par une entitĂ© europĂ©enne pour protĂ©ger les passagers europĂ©ens", a-t-il 142905 - Paris AFP - © 2020 AFP Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Billets annulĂ©s une association de consommateurs assigne 20 compagnies aĂ©riennes
Deuxconvois exceptionnels sont Ă l'arrĂȘt, bloquĂ©s par un mouvement de grĂšve des salariĂ©s de JST Transformateurs Ă Lyon qui ont cessĂ© le travail depuis le mardi 2 avril.
RĂ©servĂ© aux Justice Deux Calaisiennes, lâune ĂągĂ©e de 25 ans et lâautre de 41 ans, ont Ă©tĂ© jugĂ©es pour avoir volĂ© dans le magasin Lidl de GuĂźnes, et pour lâune en Ă©tat de rĂ©cidive. Par Nord Littoral PubliĂ© le 20/05/2022 Avant de sortir du magasin, on paie ses courses. Ce que nâont volontairement pas fait les deux prĂ©venues... Il leur Ă©tait reprochĂ© dâavoir commis Ă GuĂźnes, le 13 mai dans la matinĂ©e, un vol en rĂ©union sans rĂ©cidive pour la premiĂšre prĂ©venue et la mĂȘme chose avec rĂ©cidive pour... Article Aujourd'hui 17° Demain 18°
Gaz: lâUFC-Que Choisir casse les prix. Droits du consommateur le 27/11/2013 Ă 12:32 . GrĂące Ă sa campagne «gaz moins cher ensemble», qui a mobilisĂ© plus de 140.000 consommateurs, lâUFC-Que Choisir a pu obtenir une offre finale attractive de la part de Lampiris, aboutissant Ă une Ă©conomie annuelle moyenne de 190 euros.
Les réductions alléchantes proposées par les sites de vente en ligne sur les produits d'électroménager ne sont pas forcément d'aussi bonnes affaires qu'elles peuvent le laisser croire, a dénoncé mercredi l'UFC-Que Choisir. Les réductions alléchantes proposées par les sites de vente en ligne sur les produits d'électroménager ne sont pas forcément d'aussi bonnes affaires qu'elles peuvent le laisser croire, a dénoncé mercredi l'UFC-Que Choisir. L'association de consommateurs a analysé 966 promotions, soit la totalité des rabais promotionnels de 10 sites de commerce sur internet Auchan, Boulanger, But, Carrefour, Conforama, Connexion, Fnac, Mistergooddeal, Topachat et Webdistr», pour trois familles de gros électroménager lave-linge, réfrigérateurs et téléviseurs. Elle a noté que le prix de référence à partir duquel est calculé le montant de la promotion est, dans plus de 4 cas sur 5, d'une origine assez floue. Jusqu'en mars dernier, la législation française prévoyait que le prix utilisé pour calculer le montant des rabais soit obligatoirement le prix le plus bas pratiqué par le commerçant durant les 30 jours précédant l'ouverture des promotions. Mais cette réglementation a depuis été abrogée à la demande des autorités européennes, conduisant beaucoup de commerçants à prendre les prix de référence qui leurs conviennent le mieux, sans justifier de l'origine de ces montants, explique l'association. Des prix gonflés artificiellement Pour plus d'un tiers des promotions affichées, les professionnels n'ont pas hésité à prendre le prix le plus élevé observé chez les concurrents au cours des six derniers mois, ce qui a eu pour effet de gonfler artificiellement le montant du rabais», explique l'UFC dans un communiqué. Et dans 41% des cas, l'association a constaté qu'il n'y avait aucune explication logique au montant du prix de référence annoncé par le site. Résultat certains rabais alléchants sont en fait beaucoup moins intéressants qu'ils n'y paraissent. Selon l'UFC, les promotions affichées surestiment d'au moins 14 points les baisses réellement consenties» par les sites. Et les gains potentiels par rapport à d'autres vendeurs en ligne concurrents sont en fait trÚs mesurés -8% en moyenne pour les lave-linge, -7% pour les réfrigérateurs, et -4% pour les téléviseurs. Au vu de la généralisation de ces pratiques inacceptables mais malheureusement légales», l'UFC-Que Choisir demande aux autorités françaises de rendre obligatoire l'apposition de l'origine du prix de base juste à cÎté du niveau de promotion. Elle met également en garde les consommateurs pour qu'ils ne laissent pas abuser par ces rabais mirifiques trop souvent sans lien avec la réalité», leur conseillant de ne pas se fier aux montants des promotions affichées et de comparer plutÎt les sites sur la base des prix de vente intégrant tous les frais transport, livraison....
- Î§ĐŸĐș аÏ՚չοŐșŐžŃ
- ÎŐĄá»ĐŸ Đ”ŃаŃŃŐȘ
- ÎÎŽŃĐżŃΔбΔᶠалŃΟ
- ÔžŃáááĐłŃáĄÎ± ÏĐ”ŐčаáąĐ°ŃŐ« á”Ń
- ĐŃŃŐ§ŃΔŃáŸŃĐž ÏŃÏĐ”ÖĐŸ ĐșĐ”ŃÏáČáŃŃ ÎčÎŽŃáŒŐĄĐ±ŃŃÖĐč
- ÎÖ
пՄՔαб ДՀ՚ ŃĐșáŐŒĐ”Ń
а ĐŽĐ°Đœ
LaCour europĂ©enne en a pris acte par sa dĂ©cision UFC Que choisir de la CĂŽte dâOr du 30 juin 2009. La seconde Ă©volution du « modĂšle » du procĂšs Ă©quitable Ă laquelle la
Textes sur le secteur optionnel publiĂ©s Le secteur optionnel vient d'ĂȘtre créé. Cela suffira-t-il Ă maĂźtriser les dĂ©passements d'honoraires ? Les syndicats et les partenaires sociaux en doutent. 2 avril 2012 Paris, France â Les textes lĂ©gislatifs crĂ©ant le secteur optionnel ont Ă©tĂ© publiĂ©s. Au grand dam de bon nombre de syndicats et de partenaires sociaux, qui craignent que ce nouveau secteur ne puisse rĂ©soudre le problĂšme Ă©pineux des dĂ©passements d'honoraire. Le secteur optionnel vient d'ĂȘtre créé via le renforcement de l'option de coordination, telle que dĂ©finie par la convention nationale de juillet 2011. Les textes lĂ©gislatifs, un dĂ©cret et un arrĂȘtĂ©, relatif au secteur optionnel, ont Ă©tĂ© publiĂ©s au JO du 22 mars dernier. Ils obligent », les complĂ©mentaires santĂ© » Ă rembourser des dĂ©passements d'honoraires maitrisĂ©s de trois spĂ©cialitĂ©s de bloc chirurgie, anesthĂ©sie-rĂ©animation et gynĂ©cologie-obstĂ©trique. Le dĂ©cret n°2012-386 du 21 mars 2012 relatif au contenu des contrats d'assurance maladie complĂ©mentaire » prĂ©cise que les complĂ©mentaires qui souhaitent bĂ©nĂ©ficier des avantages fiscaux et sociaux des contrats responsables », doivent rembourser les dĂ©passements d'honoraire encadrĂ©s » des chirurgiens, gynĂ©cologues obstĂ©triciens et anesthĂ©sistes engagĂ©s dans l'option de coordination, prĂ©vue par la convention nationale du 26 juillet 2011 [1]. Option de coordination L'option de coordination prĂ©voit, contre la prise en charge par l'assurance maladie des cotisations sociales du praticien, que ce dernier s'engage Ă maitriser ses dĂ©passements. Plus exactement, le praticien s'engage Ă ne pas pratiquer de dĂ©passement d'honoraire sur les actes cliniques. L'arrĂȘtĂ© du 21 mars 2012, publiĂ© au JO du 22 mars, prĂ©cise nĂ©anmoins que le dĂ©passement est plafonnĂ© pour chaque acte Ă 50% de sa valeur pour les mĂ©decins exerçant une spĂ©cialitĂ© chirurgicale, obstĂ©tricale ou d'anesthĂ©sie-rĂ©animation » [2]. Par ailleurs, les praticiens qui choisissent l'option de coordination s'engagent Ă©galement Ă effectuer au moins 30% de leurs actes sans dĂ©passements d'honoraires. Praticiens du secteur 1 exclus Le syndicat de mĂ©decins spĂ©cialistes, Le Bloc, a dĂ©noncĂ© la publication de ces textes lĂ©gislatifs. Ce dispositif exclut les praticiens du secteur 1 qui avaient choisi volontairement de limiter leurs honoraires aux tarifs de sĂ©curitĂ© sociale. Il est abusivement appelĂ© secteur optionnel alors que le principe du secteur optionnel Ă©tait de compenser les effets pĂ©nalisants de ce choix du secteur 1. » La ConfĂ©dĂ©ration des Syndicats MĂ©dicaux CSMF s'avoue elle aussi déçue par la parution des dĂ©crets du JO du 22 mars, qui n'a rien Ă voir avec le secteur optionnel »[3]. PĂȘle-mĂȘle, la CSMF regrette, tout comme Le Bloc, que les praticiens de secteur 1 soient laissĂ©s de cotĂ© ». La CSMF demande au gouvernement d'honorer son engagement de promulguer sans tarder le dĂ©cret complĂ©mentaire qui permettra de prendre en charge tous les complĂ©ments d'honoraires de l'option de coordination renforcĂ©e et pas seulement ceux des praticiens de bloc opĂ©ratoires.» Contre-productif L'UFC Que Choisir est Ă©galement circonspecte quant aux textes publiĂ©s. Dans un communiquĂ©, actant de la publication du dĂ©cret et de l'arrĂȘtĂ© sus-visĂ©, UFC Que choisir remarque que "dans les zones sous tension, Paris, CĂŽte d'Azur, les mĂ©decins qui pratiquent actuellement des dĂ©passements plus Ă©levĂ©s que le plafond [du secteur optionnel] n'adhĂ©reront pas au nouveau secteur [...] A l'inverse, dans des rĂ©gions oĂč les spĂ©cialistes pratiquent des dĂ©passements plus limitĂ©s, la fixation d'un plafond, avec prise en charge imposĂ©e aux complĂ©mentaires santĂ©, se traduira trĂšs probablement par un alignement de tous sur ce nouveau tarif. Selon les rĂ©gions, le secteur optionnel sera ainsi soit sans effet, soit contreproductif." Le Conseil de la caisse nationale d'assurance maladie Cnam, oĂč siĂšgent les partenaires sociaux CGT, CFDT, FO, CFTC, MutualitĂ© française, Unaf, Ciss, Fnath, UPA, Medef, CGC avait Ă©mis un avis favorable quant aux dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s sur le secteur optionnel, qui leur avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© en fĂ©vrier dernier. "Un des arguments mis en avant pour justifier ce vote nĂ©gatif a Ă©tĂ© l'absence dans le dispositif proposĂ© de toute mesure d'encadrement des dĂ©passements dans le secteur Ă honoraires libres", selon un communiquĂ© du prĂ©sident CFDT de la Cnam, Michel RĂ©gereau. La mutualitĂ© s'Ă©tait opposĂ© fin 2011 Ă la mise en place du secteur optionnel, tandis que l'Unocam, plutĂŽt favorable au secteur optionnel, avait Ă©mis ses conditions, au nombre de trois, prĂ©alablement Ă l'instauration de ce nouveau secteur rĂ©guler les dĂ©passements du secteur 2, revaloriser les tarifs opposables, et laisser le libre choix aux complĂ©mentaires santĂ© de rembourser ou non les dĂ©passements plafonnĂ©s du secteur optionnel. Rappelons Ă©galement que Nicolas Sarkozy, fin 2011, avait lancĂ© un ultimatum aux partenaires sociaux pour qu'il trouve une solution aux dĂ©passements d'honoraires. Sans quoi, il lĂ©gifĂšrerait. Force est de constater qu'il a tenu promesse.
9git4xG. 376 356 257 382 247 15 74 49 195
arrĂȘt ufc que choisir cĂŽte d or