Çame bouffe d’entendre que je devrais arrĂȘter de me maquiller. Ça me bouffe d’entendre que je suis un pot de peinture par ce que je suis dĂ©gueulasse en dessous. Ça me bouffe d’entendre que je suis conne de ne jamais avoir fait roaccutane. Ça me bouffe de voir les gens me dĂ©visager dans la rue quand je ne suis pas maquillĂ©e..
>> Pris On me prend sans me toucher, qui suis-je ? solution les bois qu'est-ce qui fait le tour du bois sans jamais y pĂ©nĂ©trer ? solution CasaniĂšre je rentre toujours la premiĂšre et sors toujours la derniĂšre, qui suis-je ? solution Absence injustifiĂ©e On me trouve 3 fois dans l'annĂ©e et pourtant 1 fois par semaine. Qui suis-je ? solution Face Ă  l'invisible Qu'est ce qui est devant nous mais que nous ne voyons jamais ? solution et sans faire de bruit je tombe sans me faire mal, qui suis-je? solution Nocturne Sans mĂȘme regarder, je vois aussi clair dans l'obscuritĂ© que le jour. Qui suis-je ? solution Boisson chaude Mon premier est une boisson, mon deuxiĂšme est une boisson, mon troisiĂšme est une boisson, mon tout est une boisson. solution Loin, trĂšs loin... Je suis partout, mais on ne peut jamais m'atteindre. Qui suis-je? solution Le matin, le midi, le soir Qu'est ce qui le matin marche Ă  quatre pattes, le midi Ă  deux et le soir Ă  trois ? solution CatĂ©gories associĂ©es lettres crĂ©ativitĂ© stĂ©rĂ©otypes junior >>
Sil ne vous Ă©crit jamais le premier, mais vous rĂ©pond toujours avec plaisir, c’est peut-ĂȘtre qu’il a peur de s’engager. Quand un mec a peur de s’engager, il n’est pas clair et vous contrarie souvent, par exemple en ne vous Ă©crivant jamais le premier. Il existe mille raisons expliquant qu’un garçon ait peur de s’engager. Soit parce que ses Ă©motions le
36 rĂ©ponses /Dernier post 11/03/2009 Ă  0034Ppar48bk10/03/2009 Ă  1115Salut,Bon voilĂ , je suis en couple avec ma copine et j'ai fait une sorte de petit bilan de notre relation en 1/2 annĂ©e. J'ai remarquĂ© que en 6 mois, on ne s'est vu qu'une seule fois en dehors des cours et c'Ă©tait le jours oĂč ça faisait 3 mois. VoilĂ  ... De plus mĂȘme au lycĂ©e on est plus souvent ce passe-t-il en elle ?Pourquoi on ne se voit jamais alors que les autres couples de notre Ăąge se voit souvent ?Merci d' le 11/04/2010 Ă  512 PM par par48bk Your browser cannot play this video. Nnyx53jj10/03/2009 Ă  1119Peut ĂȘtre qu'elle n'a pas envie que sa famille sache, peut ĂȘtre qu'elle ne veut pas sortir...Quand tu lui proposes, que rĂ©pond-elle?Jjul71nc10/03/2009 Ă  1125Peut ĂȘtre qu'elle se lasse de toi, que tu n'es pas "le meilleur" et que te voir ne change pas particulierement quel que chose pour elle...Ppar48bk10/03/2009 Ă  1129Elle ne veut pas sortir ... Pourquoi ? ❓ Quand je lui demande si elle veut bien qu'on se voit, elle me rĂ©pond qu'elle ne pense pas que ça soit possible ...Aads76yx10/03/2009 Ă  1131Elle ne veut pas sortir ... Pourquoi ? ❓ Quand je lui demande si elle veut bien qu'on se voit, elle me rĂ©pond qu'elle ne pense pas que ça soit possible ...Peut-ĂȘtre que cela vient de ses parents ......PublicitĂ©, continuez en dessousPpar48bk10/03/2009 Ă  1135Je n'ai jamais parlĂ© Ă  ses parents, ils ne m'ont eux mĂȘme jamais Ă  1141Dans ce cas, le problĂšme des parents n'est pas Ă  ĂȘtre qu'ils ne veulent pas que ta copine ai un copain. Dans ce cas tu ne seras pas le seul si elle en aura d'autre aprĂšs. Cependant je ne sais pas pourquoi ses parents sont contre votre relation...Wwil66dyu10/03/2009 Ă  1146tu perds ton temps lourde laPublicitĂ©, continuez en dessousDdex19yb10/03/2009 Ă  1150Je penche aussi pour les parents, peut ĂȘtre a t elle " honte de toi" mais j'espĂšre que c'est pas le peut importe l'Ăąge il y a des personnes qui Ă  25 - 26 ans n'assument pas une relation et n'en parlent pas Ă  leurs parents ou alors que lorsque sa va mal si sa peut te Ă  1153tu perds ton temps lourde laMais si elle est encore avec lui c'est qu'elle ne s'oppose pas Ă  la relation. ne trouvez pas de rĂ©ponse ?Aads76yx10/03/2009 Ă  1201Oui bien les parents ne veulent pas que leur fille sorte....PublicitĂ©, continuez en dessousDdex19yb10/03/2009 Ă  1206Si on rĂ©sume un peu sa donne les hypothĂšses suivantes1 Soi elle a honte de toi2 Soit elle en a pas envie que vous vous voyiez en dehors du lycĂ©e mais elle refuse de te le dire3 Ses parents ne sont pas au courant et elle a peur de leurs rĂ©actions 4 Ses parents sont au courant mais ne veulent pas que leur fille sorte comme le dit adsl45Bref sa laisse quand mĂȘme pas mal de pistes Ă  explorer mais sa sent pas bon normal je viens de lourder ok je sors!!!!4 Ppar48bk10/03/2009 Ă  1207Ne sorte pas jusqu'au lycĂ©e ? si on peut appeller cela sortir. Si c'est la faute de ses parents alors ça la bloque et ça bloque notre relation ... Et il faut une Ă  1210Ne sorte pas jusqu'au lycĂ©e ? si on peut appeller cela sortir. Si c'est la faute de ses parents alors ça la bloque et ça bloque notre relation ... Et il faut une tu devrais lui demander pourquoi... Ensuite si c'est parce que ses parents ne veulent pas qu'elle sorte Ă  son Ăąge, et bien il faudra attendre ses 18 ans 🙂PublicitĂ©, continuez en dessousPpar48bk10/03/2009 Ă  1216DĂ©jĂ , tu devrais lui demander pourquoi... Ensuite si c'est parce que ses parents ne veulent pas qu'elle sorte Ă  son Ăąge, et bien il faudra attendre ses 18 ans 🙂Ça fait 5 mois que je lui demande pourquoi et ça fait 5 mois que je me "pose trop de questions" ou "fais trop de soucis"😉.
Jai passĂ© le brevet et c'Ă©tait dĂ©jĂ  la fin, ce jour-lĂ  Ă©tait horrible, j'ai eu mes derniers cĂąlins. Je ne me voyais pas sans elle. Cela fait 1 mois et demi que je ne l'ai pas vue, je ne me suis toujours pas dĂ©tachĂ©e d'elle mais je garde contact avec elle, je compte la revoir mais c'est trĂšs dur car j'arrive au lycĂ©e. Elle me manque “La colĂšre ne rĂ©sout rien, ne construit rien, mais elle peut tout dĂ©truire.” – Anonyme Une majoritĂ© de gens pensent que la colĂšre est une Ă©motion naturelle Ă  ressentir. AprĂšs tout, il est normal de se mettre en colĂšre une fois de temps en temps. Vous avez parfaitement le droit d’ĂȘtre en colĂšre, lorsque les choses ne vont pas comme vous le voulez. Mais je ne partage pas cet avis. Bien qu’il n’y ait pas de mal Ă  se mettre en colĂšre aprĂšs tout, il n’y a pas de bonnes ou mauvaises Ă©motions, la colĂšre n’a pas Ă  ĂȘtre une option. Tout comme vous choisissez d’ĂȘtre en colĂšre, vous pouvez aussi choisir de ne pas l’ĂȘtre. Vous pouvez rĂ©soudre vos problĂšmes de la mĂȘme maniĂšre, voire mieux encore, sans faire parler votre colĂšre. Dans l’article d’aujourd’hui, nous allons voir les mĂ©thodes conscientes qui permettront d’anticiper votre colĂšre, ainsi vous dĂ©laisserez peu Ă  peu ce sentiment trĂšs destructeur. Voici d’ailleurs une infographie rĂ©capitulative des effets physiques de la colĂšre cliquez pour agrandir Je ne parlerais donc pas ici de “gestion de la colĂšre” ou bien de son “contrĂŽle”, qui ne sont que des solutions Ă  court terme. Ce guide vise Ă  rĂ©soudre durablement les problĂšmes de colĂšre, ce qui devrait ĂȘtre un objectif majeur dans notre vie. Au programme de cet article Étape n°1 ReconnaĂźtre quand vous ĂȘtes en colĂšreIl existe plusieurs stades de colĂšreÉtape n°2 Sachez reconnaĂźtre vos dĂ©clencheurs de colĂšreÉtape n°3 Creusez vos dĂ©clencheurs de colĂšreExemple 1 Parler Ă  des gens grossiĂšresExemple 2 Voir des personnes ĂągĂ©es se faire maltraiterLes dĂ©clencheurs de colĂšre et les Ă©vĂ©nements passĂ©sÉtape n°4 LibĂ©rez-vous de la colĂšreÉtape n°5 Cessez de gĂ©nĂ©rer de nouvelles colĂšres en vous libĂ©rant de vos attaches Étape n°1 ReconnaĂźtre quand vous ĂȘtes en colĂšre Contrairement Ă  ce que beaucoup pensent, la colĂšre n’est pas limitĂ© qu’aux moments oĂč vous perdez votre sang-froid et Ă©clatez de rage. La colĂšre commence au moment oĂč vous accumulez des Ă©motions nĂ©gatives Ă  propos de quelque chose ou de quelqu’un. Plus vous vous sentez malheureux ou triste, et plus la colĂšre boue Ă  l’intĂ©rieur de vous
 jusqu’à ce que le vase dĂ©borde et que vous ne pouvez plus retenir cette Ă©motion plus longtemps. Il existe plusieurs stades de colĂšre Cela signifie que si vous vous sentez souvent irritĂ© ou frustrĂ©, c’est comme si vous aviez une bĂȘte enragĂ©e Ă  l’intĂ©rieur de vous, qui n’attend que d’ĂȘtre libĂ©rĂ©e. Vous ĂȘtes cette bombe Ă  retardement, prĂȘte Ă  exploser Ă  tout instant. Tout ce qu’il vous manque c’est a le mauvais stimulus ou b suffisamment de frustration accumulĂ©e, pour Ă©clater de colĂšre Ă  propos de quelqu’un ou de quelque chose. Voici une Ă©chelle des diffĂ©rents stades de colĂšre, qui vous aidera Ă  ĂȘtre plus consciente de votre colĂšre. Pourrez-vous reconnaĂźtre ces diffĂ©rents stades en vous ? Niveau 0 SĂ©rĂ©nitĂ©. C’est un stade oĂč la colĂšre n’existe pas. Vous ressentez un sentiment de paix et d’apaisement. Niveau 1 L’irritation. C’est le premier niveau de colĂšre. Ici, vous pouvez ressentir un lĂ©ger sentiment d’agacement, mais il reste rĂ©pressible. Si vous ĂȘtes trĂšs colĂ©rique, vous pouvez sauter ce niveau et passer directement aux niveaux 3, 4 ou 5. Niveau 2 Frustration. C’est le point intermĂ©diaire entre le lĂ©ger agacement et la vraie colĂšre niveau 3. Vous ĂȘtes frustrĂ© et ça se voit. Il est plus difficile de nier votre frustration comparĂ© au niveau 1. Niveau 3 La colĂšre. Votre frustration s’est accumulĂ©e au point oĂč vous ressentez actuellement de la colĂšre. Non seulement ça, mais votre frustration est telle qu’elle se manifeste maintenant physiologiquement. Vous pouvez sentir votre cƓur battre plus vite et votre corps tout entier s’échauffer. Niveau 4 Furieux. Un profond Ă©tat de colĂšre. Vous ĂȘtes bien Ă©nervĂ© Ă  ce point. Alors que vous vous sentez en colĂšre, vous n’avez pas encore perdu le contrĂŽle
 pour l’instant. Vous ĂȘtes encore lucide et capable de contrĂŽler vos actions mais pour longtemps, cependant. Un autre stimulus et vous ĂȘtes prĂȘt Ă  tout casser. Niveau 5 La rage. Ça y est, vous avez perdu le contrĂŽle ! Vous voyez rouge et rien ne peut vous empĂȘcher de vous en prendre violemment aux autres. C’est l’état oĂč vous dites et faites des choses que vous ne feriez normalement pas, dans un accĂšs de colĂšre. À quel niveau vous vous situez habituellement ? A quelle frĂ©quence vous entrez dans chaque niveau ? Quel est le plus haut niveau que vous avez atteint ? IndĂ©pendamment de votre rĂ©ponse Ă  chacune des questions, vous devriez vous efforcer d’atteindre le niveau 0, parce que c’est notre Ă©tat naturel d’ĂȘtre. Personne n’est nĂ© avec un esprit en colĂšre. La seule raison pour laquelle nous ressentons de l’irritation, de la frustration, colĂšre ou rage dans notre for intĂ©rieur est soit a Ă  cause du passĂ©, des Ă©vĂ©nements refoulĂ©s qui nous restent en travers la gorge ou b une maniĂšre de penser erronĂ©e. Le point a sera traitĂ©e dans les Ă©tapes n°2 Ă  n°4, tandis que le point b sera corrigĂ©e Ă  l’étape n°5. Étape n°2 Sachez reconnaĂźtre vos dĂ©clencheurs de colĂšre Connaissez-vous vos dĂ©clencheurs de colĂšre ? Savez-vous ce qui vous rend en colĂšre ? Ce qui vous met hors de vous ? Ce que vous n’arrivez pas Ă  supporter ? Durant les deux minutes qui suivent, j’aimerais que vous fassiez une liste de choses qui Vous irritent ou vous frustrent ex les transports publiques qui ont du retard, les mauvais services clients, les personnes nĂ©gatives, ou irrespectueuses, Vous rendent furieux ex l’injustice envers les faibles, les agresseurs/violeurs ou hypocrites Qui vous font exploser instantanĂ©ment par exemple, le crissement de la craie sur un tableau noir. Maintenant durant le reste de la journĂ©e, observez votre rĂ©action Ă  tout ce qui se produit autour de vous. Lorsque vous vous sentez irritĂ© ou en colĂšre, notez le dĂ©clencheur et ajoutez-le Ă  votre liste. Essayez de repĂ©rer autant de dĂ©clencheurs de colĂšre que vous le pouvez. Cela vous permettra de prendre conscience de dĂ©clencheurs auxquels vous ne faisiez peut-ĂȘtre pas attention jusqu’ici, et qui peuvent se reproduire tous les jours. Des choses qui ne vous mettent pas forcĂ©ment en colĂšre, mais qui rĂ©ussissent Ă  coup sĂ»r Ă  vous irriter ou vous frustrer. Au-delĂ  de cela, vous dĂ©couvrirez Ă©galement des dĂ©clencheurs plus profonds, sur lesquels vous ĂȘtes trĂšs chatouilleux. Certaines personnes ou situations qui peuvent vous mettre instantanĂ©ment en colĂšre, car elles sont contraires Ă  vos valeurs. Comme par exemple, de ne pas supporter les personnes hypocrites/fausses dans une discussion, ou bien les gens qui arrivent tout le temps en retard. Faire cette liste vous permet de reconnaĂźtre les choses qui vous mettent en colĂšre, notamment celles qui sont contre vos plus grandes valeurs. Cela vous permet ainsi d’anticiper des situations qui vous mettraient hors de vous, en pouvant alors les traiter plus consciencieusement. Étape n°3 Creusez vos dĂ©clencheurs de colĂšre “Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous amener Ă  en savoir plus sur nous-mĂȘme.” – Carl Gustav Jung AprĂšs avoir rĂ©alisĂ© votre liste de dĂ©clencheurs de colĂšre, creusez chacun de ces dĂ©clencheurs pour dĂ©couvrir leurs causes cachĂ©es. Utilisez cet exercice pour dĂ©couvrir pourquoi telle ou telle situation vous met en colĂšre. Pour chaque dĂ©clencheur, demandez-vous “Pourquoi cela me met-il en colĂšre ?” Notez la rĂ©ponse sur une feuille et rĂ©pĂ©tez la question jusqu’à ce que vous atteignez le fameux moment de rĂ©alisation lorsque vous aurez trouvĂ© la cause de votre colĂšre. Cette cause dĂ©couverte est Ă  l’origine de votre colĂšre. Par exemple, imaginons qu’aprĂšs avoir fait l’étape n°2, vous vous rendez compte que vos dĂ©clencheurs de colĂšre sont a parler Ă  des gens grossiers et b de voir des personnes ĂągĂ©es maltraitĂ©es. Creusons-les chacun sĂ©parĂ©ment. Exemple 1 Parler Ă  des gens grossiĂšres “Pourquoi avoir affaire Ă  des personnes impolies me met en colĂšre ?” ⇒ Parce qu’ils sont dĂ©testables. “Pourquoi cela me met en colĂšre ?” ⇒ Parce qu’ils sont irrespectueux. “Pourquoi cela me met en colĂšre ?” ⇒ Parce que je me sens dĂ©valuĂ©, mĂ©prisĂ©. “Pourquoi cela me met en colĂšre ?” ⇒ Parce que cela me rappelle mon enfance, quand les enfants Ă  l’école ne me respectaient pas. Ils ne faisaient pas attention Ă  moi, et se moquaient mĂȘme de moi sans raison. Je me sentais complĂštement stupide et inutile Ă  ce moment-lĂ . Ici, vous remarquez que ce qui vous met en colĂšre face aux personnes grossiĂšres est liĂ© Ă  votre enfance, lorsque vous avez Ă©tĂ© traitĂ© rudement par vos camarades de classe. Dans ce cas, c’est le dĂ©clencheur sous-jacent de votre colĂšre. Exemple 2 Voir des personnes ĂągĂ©es se faire maltraiter “Pourquoi voir des personnes ĂągĂ©es se faire maltraiter me met en colĂšre ?” ⇒ Parce que c’est un acte d’atrocitĂ©. “Pourquoi c’est une atrocitĂ© ?” ⇒ Parce que les personnes ĂągĂ©es sont faibles. Elles devraient ĂȘtre protĂ©gĂ©s, pas maltraitĂ©es. “Pourquoi les voir se faire maltraiter me met en colĂšre ?” ⇒ Parce que cela me rappelle que les personnes sans dĂ©fense devraient ĂȘtre protĂ©gĂ©es, mais qu’elles ne le sont pas en rĂ©alitĂ©. “Pourquoi cela me met en colĂšre ?” ⇒ Parce qu’il y a eu des moments oĂč je me suis senti impuissant, mais personne ne m’a protĂ©gĂ©. Ici, vous avez dĂ©couvert que votre colĂšre envers les gens qui maltraitent les personnes ĂągĂ©es est liĂ©e aux moments oĂč vous n’avez reçu aucune aide, mĂȘme si vous en aviez besoin. C’est la vĂ©ritable raison pour laquelle vous vous mettez en colĂšre lorsque vous voyez des personnes ĂągĂ©es se faire maltraiter plus que toutes les raisons Ă©voquĂ©es auparavant. Les dĂ©clencheurs de colĂšre et les Ă©vĂ©nements passĂ©s Au fur et Ă  mesure que vous explorez chacun des dĂ©clencheurs de colĂšre, vous pouvez remonter Ă  un Ă©vĂ©nement passĂ©, comme nous l’avons fait dans les deux exemples ci-dessus. Ainsi, votre comportement suggĂšre que vous avez gardĂ© du ressentiment et de la colĂšre d’un Ă©vĂ©nement passĂ©. Ce ressentiment et cette colĂšre n’ont jamais Ă©tĂ© rĂ©solu, c’est pour cela que vous continuez Ă  vous sentir en colĂšre dans ces situations qui ressemblent Ă  ces Ă©vĂ©nements passĂ©s. ÉvĂ©nements qui sont terminĂ©s depuis bien longtemps. Ce qui nous amĂšne Ă  la prochaine Ă©tape, qui est
 Étape n°4 LibĂ©rez-vous de la colĂšre “Pardonner c’est comme libĂ©rer un prisonnier, puis dĂ©couvrir que ce prisonnier c’était vous.” – Lewis Smedes En ayant maintenant dĂ©couvert l’origine de votre dĂ©clencheur de colĂšre, il est temps de vous en libĂ©rer. La premiĂšre Ă©tape est d’identifier les injustices ou griefs que vous ressentez encore en repensant Ă  cet Ă©vĂ©nement passĂ©. Par exemple, imaginons que l’un de vos amis a brisĂ© une promesse qu’il vous a faite l’annĂ©e derniĂšre, et que vous ressentez encore de l’amertume en y repensant aujourd’hui. Pourquoi ĂȘtes-vous encore en colĂšre contre lui ? Quels sont les reproches que vous avez Ă  lui faire ? Peut-ĂȘtre ĂȘtes vous en colĂšre parce qu’il n’a pas fait ce dont il a promis. Peut-ĂȘtre ĂȘtes vous en colĂšre parce qu’il n’a pas rĂ©pondu aux attentes que vous aviez de lui. Peut-ĂȘtre ĂȘtes vous en colĂšre parce qu’il n’est pas la personne que vous croyiez. Peut-ĂȘtre Ă©galement que ce qui vous a mis en colĂšre, c’est parce que vous pensiez que vous partagiez une connexion spĂ©ciale. Et que vous auriez aimĂ© qu’il accorde plus d’importance Ă  votre amitiĂ©, en se rappelant et en honorant sa promesse. À partir de lĂ , travaillez sur les reproches que vous lui faites, un Ă  la fois. Si vous ĂȘtes en colĂšre contre votre ami parce qu’il n’a pas rĂ©alisĂ© sa promesse, demandez-vous Pourquoi avez-vous de telles attentes envers lui ? Pourquoi accordez-vous tant d’importance Ă  la satisfaction de cette promesse ? Est-il un bon ou mauvais ami, juste parce qu’il ne s’est pas conformĂ© Ă  ce que vous attendiez de lui ? Êtes-vous honnĂȘte et juste avec lui, en l’évaluant sur ce critĂšre ? Si vous ĂȘtes en colĂšre contre votre ami, parce qu’il vous pensez qu’il ne vous accorde pas assez d’importance pour rĂ©aliser sa promesse, demandez-vous Est-il vraiment vrai qu’il ne vous a jamais considĂ©rĂ© comme un ami ? Ou bien est-ce simplement votre conclusion ? Comment pensez-vous qu’il voit cette amitiĂ© ? Affrontez vos suppositions et croyances au fur et Ă  mesure que vous creusez vos reproches. La majoritĂ© de ces reproches sont le rĂ©sultat d’une erreur dans votre façon de penser, ou bien que vous n’avez pas une vue d’ensemble concernant la situation. Lorsque vous dĂ©couvrirez l’élĂ©ment fautif dans votre rĂ©flexion, qui vous a conduit Ă  penser cela, alors vous vous libĂ©rez rapidement de votre colĂšre. Étape n°5 Cessez de gĂ©nĂ©rer de nouvelles colĂšres en vous libĂ©rant de vos attaches “La paix vient de l’intĂ©rieur. Ne la cherchez pas Ă  l’extĂ©rieur.” – Buddha Au fur Ă  mesure que vous traitez les “anciennes” colĂšres de votre passĂ©, faites aussi la promesse de ne pas crĂ©er de nouvelles colĂšres dans votre esprit. Cela signifie que si vous affrontez des situations ou des personnes qui enfreignent / bousculent vos valeurs, ne vous mettez pas en colĂšre. Acceptez que les choses ne soient pas comme vous voulez, au moins Ă  ce moment-lĂ . Acceptez qu’il y ait des diffĂ©rences entre la rĂ©alitĂ© et ce que vous voulez. Puis, concentrez-vous sur la recherche, voire mĂȘme la crĂ©ation, de solutions. Nous pouvons croire que nous sommes en droit de ressentir de la colĂšre, mais alors c’est se laisser diriger par des rĂ©actions plutĂŽt que par la rĂ©flexion. Il y a une autre voie possible au-delĂ  d’ĂȘtre en colĂšre ou d’ignorer notre colĂšre c’est de ne pas ĂȘtre en colĂšre du tout. Lorsque vous ĂȘtes en colĂšre, vous ĂȘtes comme un fou portant une camisole de force qui s’est jetĂ© de l’essence dessus, puis s’est mis le feu. Vous vous agitez en essayant de blesser les autres avec les flammes sur votre camisole – et vous finissez probablement par blesser une ou deux personnes dans le processus – mais la seule personne que vous finissez par blesser, c’est vous-mĂȘme. Pour supprimer dĂ©finitivement la colĂšre de votre vie, vous devez prendre la dĂ©cision d’arrĂȘter d’ĂȘtre en colĂšre, en mĂȘme temps que vous dĂ©montez peu Ă  peu vos colĂšres passĂ©es. Cela veut dire laisser tomber les attaches du passĂ©. Cela signifie ne pas espĂ©rer que les gens se conforment Ă  vos attentes. Cela signifie apprendre Ă  accepter que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, et que cela fait partie de ses particularitĂ©s. Avez-vous dĂ©cidĂ© vous aussi d’abandonner votre colĂšre ? Dites-nous tout dans les commentaires ! Si cet article vous a plu, n’hĂ©sitez pas Ă  le partager avec votre entourage ! Pour aller plus loin Exprimer sa colĂšre sans perdre le contrĂŽle, Didier Pleux. Vous avez apprĂ©ciĂ© l'article ? Notez-le ! NotĂ© pour 335 votes Nous sommes dĂ©solĂ© que cet article ne vous ait pas plu ! Comment pouvons-nous l'amĂ©liorer ? Merci pour votre retour ! 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SuiteĂ  cet Ă©tĂ©-lĂ , je me suis doucement Ă©loignĂ© de toi, si bien que je ne t’ai jamais revu. S’il vous est arrivĂ© de ressentir la mĂȘme chose, vous avez alors ressenti qu’on ne vous aimait plus. Dans ce cas-lĂ , ne luttez pas ; on ne peut obliger personne Ă  nous aimer. Pleurez, vivez pleinement votre rage, mais Ă©loignez-vous dans la discrĂ©tion de la personne
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Le Bazarazyn Abraham AuteurMessageMĂ©lusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Be yourself, everyone else is already taken Dim 5 Jan - 1314 ‱‱ Be yourself... ‱‱Samedi 12 janvier 1980MinistĂšre de la Magie - niveau 6DĂ©partement des transports magiques Oops ! Pardon ! DĂ©solĂ© dĂ©solĂ© ! »Assailli de toute part par des Ă©trangers n'ayant aucun respect pour son espace personnel vital Merlin qu'il dĂ©testait que des inconnus le touchent !, Abraham se rĂ©pandait en excuses, au petit bonheur la chance. C'Ă©tait qu'il n'avait pas intĂ©rĂȘt Ă  chatouiller de trop prĂšs la mauvaise humeur de la mauvaise personne. L'un ou l'autre de ces coincĂ©s du chaudron, qui se ruaient droit devant eux au mĂ©pris des libertĂ©s de chacun, sans mĂȘme jeter un regard derriĂšre eux, non mais vraiment, quelle Ă©ducation... l'un ou l'autre, bref, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre un de ces diplomates en puissance dont le courroux Ă©quivalait Ă  la confiscation de sa baguette, trois mois fermes Ă  Azkaban ou pis, l'interdiction Ă  vie de s'approvisionner en jus de Ă  mesure que ses excuses s'Ă©grenaient et restaient sans rĂ©ponse enfin, quoi, pas mĂȘme un regard, un sourire, un "ce n'est rien, jeune homme", la bonne volontĂ© de l’Écossais commençait Ă  s’essouffler. Le respect envers ses aĂźnĂ©s, prĂ©cepte sacro-saint de l'Ă©ducation de sa mĂšre, il voulait bien donner, mais si ça n'Ă©tait pour rĂ©colter que du mĂ©pris, autant retourner cultiver ses citrouilles ! Au diable les bonnes maniĂšres et la politesse de façade ! Il n'avait jamais aimĂ© ça de toute façon. Ça n'Ă©tait jamais rien d'autre que de l'hypocrisie dĂ©guisĂ©e. Et Abraham Ă©tait plutĂŽt du genre allergique Ă  l'hypocrisie. Il rangea donc ses bons mots dans un petit coin, bien au chaud, ça pouvait toujours servir plus tard, rentra les Ă©paules, plaqua un air peu amĂšne sur son visage et rentra dans le jeu de tous ces autres qui filaient se faire engloutir par les dĂ©dales du foule l'emmena bien loin de l'atrium, en oubliant de lui stipuler oĂč exactement. Quelle idĂ©e de ne pas distribuer des plans Ă  l'entrĂ©e du bĂątiment ! On lui avait dĂ©jĂ  imposĂ© le trajet en cabine tĂ©lĂ©phonique, l'Ă©tape de la fouille il y avait des moments plus agrĂ©ables que celui-lĂ , dans la vie, foi de McCamlhan !, et maintenant, l'Ă©preuve du labyrinthe... Eh quoi ? C'Ă©tait un test d'intelligence ? Une sorte de sĂ©lection naturelle ou pas naturelle du tout, selon les points de vue ? Vous n'ĂȘtes un vrai sorcier que si vous sortez vivant d'ici ? Vivant et sain d' pas tss ! Va te faire enregistrer au MinistĂšre », qu'on lui avait dit !C'Ă©tait que, pour utiliser le rĂ©seau de cheminette au-delĂ  du continent grand-breton, il fallait une petite autorisation, genre, un raccord spĂ©cial. Et probablement une poudre de cheminette un chouĂŻa plus puissante. Qui savait ? Peut-ĂȘtre celle-ci ferait-elle les flammes rouges...ce serait tellement plus seyant, dans son Ăątre. Personne n'avait-il donc eu le temps de se consacrer Ă  la question de la couleur des poudres de cheminette ? Il y avait pourtant lĂ  un crĂ©neau carrĂ©ment intĂ©ressant ! Tout ce vert finissait par ĂȘtre un peu banal...Sans trop savoir comment le hasard, trĂšs probablement. Abraham ayant un sens de l'orientation absolument dĂ©plorable., il finit par rallier le niveau 6 et, chose plus Ă©tonnante encore, par dĂ©nicher le DĂ©partement des Transports Magiques. LĂ , il poireauta une bonne petite demi-heure, prit son mal en patience, compta les plantes verts sept, les affiches publicitaires seulement trois, les propagandes pro-ministĂ©rielle trente-huit, les allĂ©es-et-venues cent soixante-quatorze personnes, dont quatre-vingt-dix-huit femmes, soixante-treize hommes, deux enfants et un fantĂŽme, les dalles au sol, etc...Enfin, une dame minuscule sĂ©rieusement, elle devait Ă  peine atteindre le mĂštre vingt, les bras levĂ©s sembla s'intĂ©resser Ă  son cas. Environ deux minutes, avant de lĂącher son verdict DĂ©solĂ©e monsieur McCalmar... » Camlhan » pourquoi fallait-il que tout le monde Ă©corche toujours son nom ? Oui. Bref. Monsieur McCalmant. Je ne peux rien pour vous. SUIVANT ! »Tout ça sous prĂ©texte que son passeport n'Ă©tait pas Ă  jour. Or, il lui fallait des papiers en rĂšgle pour ĂȘtre habilitĂ© Ă  utiliser le rĂ©seau de cheminette international. Jusque-lĂ , il s'Ă©tait organisĂ© Ă  la va-comme-je-te-pousse, attrapant un portoloin ou squattant chez un collĂšgue pour quelques jours. Mais depuis que sa pĂ©riode probatoire Ă  Pumpkin's Planet » s'Ă©tait transformĂ©e en un vĂ©ritable emploi ĂŽ joie ! HallĂ©luja ! Que soient bĂ©nis Merlin, Morgane et Agrippa ! Un vrai job rien qu'Ă  lui, en plein air et sans trop de magie sous les doigts !, il lui fallait clairement rĂ©gulariser sa situation, histoire de pouvoir faire ses petits allers-retours quotidiens. Rendez vous donc aux Services Administratifs du Magenmagot. », se rĂ©solut Ă  lui lancer l'hĂŽtesse d'accueil, le prenant sans doute en pitiĂ© devant son air de chien battu. C'Ă©tait qu'il faisait trĂšs bien le chien compassion avait toutefois des limites puisqu'elle se dĂ©tourna malgrĂ© tout, pour faire face au grand type maigrichon qui s'avançait Ă  son tour, un Ă©norme dossier sous le bras. Sans mĂȘme lui prĂ©ciser oĂč diantre pouvait bien se trouver ce foutu service nerfs vaguement aiguisĂ©s par l'impatience et la lassitude, Abraham se dĂ©tourna afin de reprendre son errance dans cette fourmiliĂšre bien trop organisĂ©e pour sa cervelle d' ce qui devait arriver Étage n°174, couloir 245 658, dĂ©partement des brebis Ă©garĂ©es, Abraham McCamlhan, bienvenue !Si seulement il y avait une petite voix pour m'indiquer oĂč j'en suis, au lieu de dĂ©ambuler au petit bonheur la chance dans ces couloirs sans fin. Les quelques pĂšlerins que je croisai sur ma route avaient l'air aussi perdus et hagards que moi. Ou alors tellement concentrĂ©s, se donnant l'air important, que je n'osai les couloirs, dĂ©tours, retours, portes, bureaux, ascendeurs... comme une litanie folle et ce qui me sembla des heures et des heures probablement pas plus d'une trentaine de minutes, en rĂ©alitĂ©, un fragment de conversation, captĂ© d'une oreille distraite, me fit sursauter. LĂ , ce type, j'Ă©tais presque sĂ»r qu'il avait parlĂ© d'un service administratif, niveau 2. Il devait s'y rendre. Urgemment. Une affaire de procĂšs en cours qu'il fallait reporter. Whatever. Rien Ă  faire des dĂ©tails, il se dirigeait droit sur ma cible et moi, je n'avais plus qu'Ă  le suivre !Je vous passerai les dĂ©tails du trajet empruntĂ©, des conversations tronquĂ©es qui frappĂšrent mes oreilles, des quelques secrets d'Ă©tat que je surpris au passage non, lĂ , je plaisante. Qu'il soit seulement dit que mon petit monsieur m'entraĂźna sans le savoir jusqu'Ă  ce fameux niveau 2. Que je le perdis quand un groupe de secrĂ©taires nous croisa en jacassant. Mais qu'importe ! J'Ă©tais plus prĂšs de mon but que je ne l'avais jamais Ă©tĂ© !Mon sourire Ă©tait revenu se coller sur mon visage et j'avançai avec optimisme, droit devant moi, me fiant Ă  mon instinct. J'avais beau avoir galĂ©rĂ© comme un fou jusqu'Ă  prĂ©sent, j'Ă©tais dĂ©sormais confiant. Mon calvaire touchait Ă  sa fin et, pour me dĂ©fouler, je n'aurais qu'Ă  attraper batte, cognard et balai en rentrant pour aller me faire une petite session quidditch en solitaire, histoire de me souvenir des entraĂźnements de passer le temps et ponctuer mon chemin d'un peu de fantaisie, je m'amusai Ă  lire les noms sur les plaques qui tapissaient les murs. C'Ă©tait fou comme un bout de bronze gravĂ© pouvait rassĂ©rĂ©ner les egos de Pond, Alastor Maugrey, Jeremiah Stanislaski... Bureau des Windham, Sullivan Cameron, William O'Brian, ZoĂ© H. Peverell, EloĂŻse Macnair, Eden Gardens ... Brigade de Police Magique.* Mouhaha, Eden Gardens... Le jardin d'Eden... Il y a des parents qui ont de l'humour ! *TrĂšfle Greengrass, Finlay E. McBain, Eanna-Rose D. O'Neill,... Brigade des Tireurs d'Elite. Murtagh McEwan...* Minute... *Finlay E. McBain ?Je me fendis de deux pas en arriĂšre. Fin ? »Finlay ? Mon Finlay Ă  moi ? Le Finlay des jours heureux ?Je clignai des yeux trente-six mille fois, histoire de vĂ©rifier qu'ils ne m'avaient pas abusĂ©. Perdu de vue depuis quelques temps dĂ©jĂ  et voilĂ  que boum ! Il me revenait Ă  l'endroit le plus inattendu qui soit !Aurais-je seulement pu rĂ©sister ?Bien sĂ»r que non !Je pris un air sĂ»r de moi et pĂ©nĂ©trai dans les quartiers des tireurs d'Ă©lite. Eh quoi ? Je n'allais pas faire le pied de grue, gentiment, bĂȘtement, en attendant qu'il sorte. Imaginez qu'il soit accompagnĂ© et qu'il ne remarque mĂȘme pas mas prĂ©sence... Imaginez qu'il ne soit tout simplement pas lĂ ... L'air de rien, donc, je furetai dans leur On me jeta bien quelques regards en coin mais j'ai toujours eu l'air inoffensif...pour mon plus grand malheur. Mais c'est une autre lĂ , au dĂ©tour d'un box, un bureau. Reconnaissable entre tous. Les photos accrochĂ©es au mur confirmĂšrent mon sentiment premier j'avais trouvĂ© le bureau de Finlay. Mais de McBain, point Ă  l'horizon. J'aurais bien sĂ»r pu me renseigner mais ça aurait Ă©tĂ© avouer que j'Ă©tais un intrus, et, tant qu'on ne me foutait pas dehors, je comptais bien profiter de tout mon souris Ă  une ou deux images de la famille McBain qui convoquĂšrent tout un flot de souvenirs, hĂ©tĂ©roclites et heureux. Les souvenirs d'enfance sont souvent les plus beaux, teintĂ©s d'une mĂ©lancolie douce-amĂšre. A ce moment prĂ©cis, j'aurais donnĂ© baguette pour ce qu'elle me servait..., balai et chaudron pour revenir quinze ans en arriĂšre. M'enfin ! L'esprit a peut-ĂȘtre des pouvoirs mais pas Ă  ce point-lĂ ...Et maintenant ? Que faire ?Je ne pouvais dĂ©cemment pas partir comme j'Ă©tais venu, un mot ? Erk. Un, tout le monde pourrait le lire et deux, quoi Ă©crire ? Sans compter que trois, je n'avais jamais raffolĂ© des lettres et autres blablas Je voulais dĂ©poser un message, mais un message Ă  ma il se trouvait que j'avais ma petite idĂ©e sur le comment et le Ă©tions le deuxiĂšme week-end de janvier. Et alors, me direz-vous ? Et alors, bande d'incultes, ce fameux deuxiĂšme week-end de janvier Ă©tait synonyme de liesse, pour la communautĂ© sorciĂšre de l'Aberdeenshire. On y cĂ©lĂ©brait je-ne-savais-plus-quel-Ă©vĂ©nement probablement un sorcier qui y avait dĂ©couvert une nouvelle façon de touiller les chaudrons et pendant deux jours, c'Ă©tait animations, jeux, banquets et autres joyeusetĂ©s. Mes sƓurs et moi ne manquions jamais une occasion d'aller nous y encanailler. La famille McBain non plus. Je ne comptais plus les parties de rodĂ©os de dragons, lancers de troncs d'arbres sport national Ă©cossais, mes enfants, balai-crosses, water-Quidditch, courses enchapeautĂ©es et autres citrouilles-explosers que nous avions partagĂ©, sous le regard indulgent des adultes. Surtout les citrouilles-explosers ! C'Ă©tait il y a longtemps. Certes. Comme si ça m'empĂȘchait de rĂȘver d'y aller. Mais seul, ça n'Ă©tait pas si drĂŽle..En prenant garde de ne pas faire de gestes brusques un binĂŽme de tireurs d'Ă©lite paradait Ă  quelques pas de moi et ce n'Ă©tait probablement pas une trÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚs bonne idĂ©e de provoquer des fous furieux de la baguette, je sortis une citrouille miniature d'une de mes nombreuses poches et la dĂ©posai dĂ©licatement sur le bureau de Finlay. Tout aussi lentement, doucement, je la saupoudrai d'un peu de poudre bleuĂątre, sortie d'une Pumpkins' Planet, Laurent, un de mes collĂšgues accrĂ©ditĂ© au service recherche et dĂ©veloppement » avait mis au point une nouvelle forme d'engrais magique. Essayait de mettre au point » serait plus exact. Il m'avait remis quelques Ă©chantillons, Ă  essayer loin des yeux de la fille du patron. Ma poudre bleuĂątre Ă©tait de ceux-lĂ . Et puis, baste, il fallait vivre dangereusement !Avant que la citrouille n'ait pu prendre des dimensions exponentielles, je m'esquivai sans faire de sur la façon dont je parvins enfin Ă  rĂ©gulariser ma situation. Il n'y avait rien de palpitant dans ce Ă  titre informatif, sachez que pas plus tard que le soir mĂȘme, alors que le soleil s'Ă©tait dĂ©jĂ  couchĂ© sur les Hautes Terres d'Ecosse, j'avais enfilĂ© mon plus beau kilt et ralliĂ© l'Aberdeenshire Sorcerers' Festival c'Ă©tait le nom de cette petite sauterie aux allures de bacchanale.A bon entendeur... MĂ©lusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Dim 19 Jan - 2212 Assis sur une vieille chaise en cuir dĂ©crĂ©pi qui traĂźnait sans doute au MinistĂšre depuis quelques siĂšcles au vu de son inconfort, Finlay tentait tant bien que mal d’écouter Gustav Manner sans lui manquer cruellement de respect et de lui somnoler au visage mais enfin, son assoupissement ne relevait pas complĂštement de lui - qui avait eu l’excellente mauvaise idĂ©e de placer la confĂ©rence tout de suite aprĂšs le dĂ©jeuner, alias l'heure la plus propice Ă  la sieste ?. Gustav Manner, sommitĂ© dans l’univers policier sorcier par ses nombreuses arrestations spectaculaires de dangereux hors-la-loi, mais plus connu du public par ses divers livres Ă  succĂšs sur le monde juridique et policier des sortes de banalisations de ces sujets pour le commun sorcier. Ancien chef gĂ©nĂ©ral de la police magique, il avait mĂ©ritĂ© son tableau d’honneur dans le hall d’entrĂ©e et sa prĂ©sence aujourd’hui au quartier gĂ©nĂ©ral suscitait bien des remous enthousiasmes invitĂ© Ă  prĂ©senter une confĂ©rence-formation Ă  divers membres du corps policier autant les agents de la paix que les tireurs d’élite ou que les prĂ©posĂ©s Ă  l’accueil, le grand maĂźtre causait un nombre impressionnant de torticolis puisque tous Ă©tiraient leur cou dans l’espoir de croiser son regard. Comme il s’avĂ©rait Ă©videmment impossible de suspendre l’entiĂšretĂ© l’activitĂ© policiĂšre pendant quelques heures, Manner donnerait quatre fois la confĂ©rence, poĂ©tiquement intitulĂ©e L’importance de la diplomatie. Quelques chanceux assistaient Ă  la premiĂšre reprĂ©sentation, dont Finlay, Ă  qui son chef, Lewis, avait grommelĂ© Tiens, vas-y. Le plus tĂŽt, tu y vas, le mieux, ce sera. » Le concernĂ© avait froncĂ© les sourcils devant l’insinuation, mais s’était tu si ce silence n’était pas de la diplomatie, qu’était-ce alors ?. Ce que Gustav Manner racontait Ă©tait intĂ©ressant
 pendant cinq minutes. AprĂšs cela, chaque phrase revenait exactement Ă  la mĂȘme chose et alourdissait le propos. Tandis que Finlay s’enfonçait lentement mais sĂ»rement dans son siĂšge, son voisin de droite lui refila un bref et efficace coup de coude dans
 et non, pas dans ses cĂŽtes, elles Ă©taient rendues trop basses pour les atteindre... ce fut donc la cage thoracique qui fut cruellement touchĂ©e. Aouch. Endroit bien douloureux qui l’élança et le maintint Ă©veillĂ© pendant une bonne quinzaine de minutes. Il est primordial de toujours ĂȘtre courtois et patient avec les sorciers qui viennent chercher votre aide puisque vous ĂȘtes leur seul appui Ă  ce moment. Vous ĂȘtes leur lien entre le malheur qu’ils vivent et la clef du bonheur Ă  venir
 » D’accord, d’accord. Les dires de Manner Ă©taient vrais, mais Ă©tait-il nĂ©cessaire de passer par des images tirĂ©es d’un bouquin de psychologie populaire ? Parlant de Manner
 il Ă©tait plutĂŽt bien conservĂ© pour ses quatre-vingts ans approchant. Prenait-il des potions pour garder une peau d’apparence si saine ? À moins que ce ne fĂ»t l’Ɠuvre de sortilĂšges ? Mais non, l’effet des sorts s’estompait plus rapidement que cela. Oh ! Et voilĂ  que l’ennui transformait Finlay en mĂšre de famille complexĂ©e par ses vergetures, qui cherchait par tous les moyens Ă  retrouver son visage de la vingtaine par peur de perdre son mari aux mains fines de sa secrĂ©taire. Non, dĂ©cidĂ©ment, l’inertie ne lui seyait pas. McBain ! » souffla Lewis qui venait de se faufiler dans la salle. Que, qui, quoi ? Avait-il ronflĂ© trop fort ? Le tireur d’élite tourna son visage sur lequel se lisait un immense Qu’est-ce qu’il y a, j’ai rien fait, je le jure, j’écoute avec attention. Lewis lui fit simplement signe de venir le rejoindre au plus vite et Finlay s’exĂ©cuta, s’excusant au passage lorsqu’il accrochait de grandes jambes ou en profitant pour saluer silencieusement des collĂšgues. Un tel dĂ©placement attira le regard curieux de Manner qui, toutefois, n’interrompit pas son exposĂ© pour autant, et McBain fils tenta de lui transmettre en un regard et quelques gestes sa pensĂ©e qui se rĂ©sumait Ă  Je suis appelĂ© par le Big Boss, je suis dĂ©solĂ©, mais super confĂ©rence, merci, un grand honneur de vous voir, bonne journĂ©e, dĂ©solĂ© encore, est-ce assez diplomatique?, mais Manner ne regardait pas l’exercice de mime jusqu’à la fin et comprit donc qu’une envie pressante terrassait Finlay. On a un petit problĂšme au bureau » lui annonça Lewis, une fois qu’ils furent sortis. Avec ton bureau, en fait. » Okééé, mais encore ? » le poussa Ă  continuer Finlay dont l’incomprĂ©hension ornait tous les recoins du visage. Que s’était-il produit de si terrible qui mĂ©ritait de l’arracher Ă  cette formation qui lui Ă©tait utile? À moins que ce ne fĂ»t qu’une excuse lamentable pour l’envoyer dans une affaire urgente qui nĂ©cessitait ses grands talents trop souvent nĂ©gligĂ©s ? Hm, tu verras par toi-mĂȘme l’étendue de la catastrophe. En gros, il y a environ une heure de cela, un grand rouquin Ă  l’air un peu hagard est entrĂ© dans le quartier gĂ©nĂ©ral et a dĂ©posĂ© une citrouille sur ton bureau. » Bon. Jusqu’à prĂ©sent, la situation Ă©tait Ă©trange, mais rien de calamiteux encore. Et la citrouille a commencĂ© Ă  grossir. Et elle ne s’arrĂȘte plus. » Mais comment s’appelait le rouquin ? » On ne sait pas, on croyait que c’était un ami Ă  toi puisqu’il semblait bien connaĂźtre le coin. » Et bien. Les services policiers, toujours prĂȘts Ă  vous servir avec efficacitĂ© ! » » lança ironiquement Finlay. Puis, voyant le regard que lui jetait son chef, il se reprit C’était pas trĂšs diplomatique ? Pardon. Je n’ai pas assistĂ© Ă  toute la confĂ©rence. Bon. Allons voir la bĂȘte. » Un rouquin. Son seul indice. Ses collĂšgues n’avaient-ils pas idĂ©e du nombre de roux qui peuplaient la Grande-Bretagne !? Doux Merlin. Qui pouvait bien lui laisser des potirons au MinistĂšre ? Il n’avait pas rĂ©ellement d’ennemi au sein de la pĂšgre – du moins, il l’espĂ©rait - ou d’admiratrice secrĂšte – ça aussi, il l’espĂ©rait. DĂšs qu’il entra dans le quartier, il constata l’ampleur de la situation. La plante empiĂ©tait maintenant sur les bureaux voisins. Plus mallĂ©able que la normale, elle ressemblait Ă  un gros ballon orange mal-gonflĂ©. Les sorciers qui ne pouvaient plus travailler faute d’invasion citrouillienne se tenaient debout, touchaient du bout de leur baguette la 
 crĂ©ature, y allaient de leurs hypothĂšses absurdes. À nous deux. Revelium ! » lança Finlay en pointant l’amas orange. L’effet escomptĂ© fut tout autre la cucurbitacĂ©e frĂ©mit lĂ©gĂšrement avant d’éclater et de rĂ©pandre son contenu visqueux aux quatre coins du quartier gĂ©nĂ©ral sous les cris surpris de quelques policiers. L’odeur de la citrouille le saisissait aprĂšs tout, il en avait dans les narines alors
 et lui paraissait familiĂšre. Bon, d’accord, elle paraĂźtrait familiĂšre Ă  n’importe quel sorcier qui aurait bu son jus, vous me direz, mais non. Car la citrouille Ă©clatĂ©e ne dĂ©gage pas le mĂȘme effluve c’est plus brutal, plus festif qu’un simple dĂ©coupage. Festif. Citrouille. Rouquin. Quel jour sommes-nous ? » demanda Finlay, simplement pour ĂȘtre certain. Le 13 janvier » lui rĂ©pondit une Ăąme charitable qui essuyait des restants de potiron sur sa chemise beige. 13 janvier, mais oui, mais oui ! Tout fut tellement clair, tellement Ă©vident que Finlay Ă©clata de rire, attirant quelques regards inquiets de ses collĂšgues Et s’il y avait quelque chose de poison dans la citrouille ? » . Oh, oh, brillant Abraham, fier Écossais, digne Ă©lĂšve qui avait bien suivi ses leçons de bĂȘtise ! Aberdeenshire Sorcerers' Festival ou la cĂ©lĂ©bration Ă©cossaise sorciĂšre par excellente oĂč la citrouille explosive Ă©tait maĂźtresse. Un festival auquel les familles McBain et McCamlhan, celle d’Abraham, assistaient chaque annĂ©e, jusqu'Ă  ce que les bambins grandissent et vaguent Ă  d’autres occupations. Depuis combien de temps n’avait-il pas participĂ© Ă  cet Ă©vĂšnement grandiose ? Quatre, cinq ans ? Trop longtemps, certainement. Et ce devait ĂȘtre l’avis d’Abra. Le lecteur nous permettra sans doute ici de sauter par-dessus quelques heures de la vie de Finlay qui est un ĂȘtre extrĂȘmement intĂ©ressant, nous vous le cĂ©dons pour les besoins de l’histoire. Pour garder une certaine trame, disons seulement que le tireur d’élite expliqua plutĂŽt mal la prĂ©sence de la citrouille et pourquoi il Ă©tait aussi marrant que cela qu’elle aille explosĂ©e il Ă©tait vraiment le seul Ă  en rire, il dut nettoyer le bureau en entier et ce ne fut pas une tĂąche facile puisque la citrouille rĂ©sistait au plus puissant des Recurvite, puis dut chercher en catastrophe un vieux kilt qui traĂźnait dans sa garde-robe. Il passa rapidement chez Neil, son jeune frĂšre, pour l’inviter Ă  la soirĂ©e, mais, ne le trouvant pas chez lui, il se contenta de lui laisser un petit message, mĂȘme s’il doutait fort de la rĂ©ussite de cette tentative. Nous retrouvons donc Finlay sur les lieux de festivitĂ©, aussi excitĂ© qu’un gamin qui reçoit son premier balai. Et il y avait de quoi ĂȘtre fĂ©brile il allait revoir Abraham, qu’il avait perdu de vue depuis trop longtemps, et festoyer l’Aberdeenshire, l’une des plus belles fĂȘtes sorciĂšres. En voyant la banderole annonçant le festival, Finlay fut attaquĂ© par un flot de souvenirs d’une Ă©poque simple et heureuse. Un immense sourire se dessina sur ses lĂšvres bleuies par le froid Ă©cossais, qui ne demandait pas du tout la mĂȘme quantitĂ© de couches de vĂȘtement que le froid londonien et vous devinez pour quel froid Finlay s’était prĂ©parĂ© en toute hĂąte, sans rĂ©flĂ©chir. Allez, hop, trouver Abra au plus vite ! La mission ne promettait pas d’ĂȘtre facile Ă©tant donnĂ© la quantitĂ© astronomique de roux
 et puis, son ami d’enfance avait sĂ»rement bien grandi depuis leur derniĂšre rencontre. Et lĂ , au stand de dĂ©gustation de whisky Ă  la citrouille, un Ă©lancĂ© rouquin lui tournait le dos, mais Finlay semblait reconnaĂźtre sa maniĂšre de boire avec le coude un peu tournĂ© vers l’extĂ©rieur. S’approchant tout en douceur, Finlay profita du moment oĂč le buveur prenait une lampĂ©e de whisky pour lui envoyer une bonne tape dans le dos en lançant un joyeux On ne perd pas de bonnes habitudes, Abraham ? » Le supposĂ© Abraham se retourna vers Finlay. Qui constata qu’il n’avait pas du tout affaire avec le bon Abraham. Celui-ci avait une longue moustache rousse pleine de whisky et des petits yeux perçants. Oh. Tu n’es pas Abraham. Pardon » dit Finlay, qui, dĂ©cidĂ©ment, ne cessait d’enchaĂźner les gaffes aujourd’hui. Il mit quelques Mornilles sur la table de bois devant Non-Abraham. Prends un autre whisky Ă  ma santĂ© ! Et bon festival!» lança-t-il avec un sourire avant de s’éclipser rapidement avant que malheur ne lui arrivĂąt. Tout au long de sa quĂȘte, Finlay remarqua que l’évĂšnement avait grandi en importance puisque de nombreux nouveaux kiosques Ă©taient apparus depuis sa derniĂšre visite; tant mieux ! Leur plaisir n’en serait que dĂ©doublĂ©. Tandis qu’il passait Ă  cĂŽtĂ© d’un stand de fabrication de repousse-chauve-souris, la prĂ©sence d’un nouveau grand roux devant lui l’interpella. Peut-ĂȘtre que cette fois-ci serait la bonne ? Ah mais pas question de se tromper lamentablement encore. Il lui fallait ĂȘtre certain et recertain de l’identitĂ© du sorcier et cela nĂ©cessitait l’examen de son visage. De son habiletĂ© habituelle, Finlay se faufila vers la droite et passa derniĂšre les kiosques en marchant vite. Puis, lorsqu’il jugea dĂ©tenir une bonne longueur d’avance sur le Peut-Être-Abraham, le jeune McBain retourna sur le chemin principal, faisant ainsi face au prĂ©sumĂ©. Plus aucun doute c’était bien sa posture, son nez immanquable, ses yeux pĂ©tillants. Il s’avança tranquillement en souriant de ces retrouvailles, puis, arrivĂ© Ă  destination, Ă©treignit chaleureusement son ami d’enfance. Te retrouver n’aura pas Ă©tĂ© une partie de Quidditch, ça non ! » Il se recula de quelques pas pour mieux admirer la transformation de son ami qui avait passĂ© de la fin de son adolescence – moment pas toujours glorieux – au dĂ©but de sa vie adulte. Finlay jeta sur Abraham un regard Ă  la fois paternel, fraternel et amical. Puisque leur relation s’était caractĂ©risĂ©e par le passage d’une de ces phases Ă  l’autre, certains plis restaient les mĂȘmes. Pardonne mon commentaire on-ne-peut-plus clichĂ©, mais comme tu as changĂ© ! Et pour le mieux! MĂ©lusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Dim 19 Jan - 2212 Un sourire me dĂ©vora automatiquement la moitiĂ© du visage. J'ai quelques rĂ©flexes de ce genre, façon mouton de Panurge, dans mes tiroirs. LĂ , tout de suite et maintenant, c'Ă©tait le rĂ©flexe Finlay McBain. Nous avions changĂ©, nous avions peut-ĂȘtre grandi notez le peut-ĂȘtre », mais ce type me faisait toujours le mĂȘme effet qu'au dĂ©but de notre histoire. Ou, disons, au presque dĂ©but. La bonne humeur qui vient me chatouiller la poitrine, un besoin secret de l'impressionner, et une envie furieuse d'Ă©clater de rire pour un rien. C'Ă©tait aussi l'une des rares personnes avec lesquelles je me sentais moi. Juste moi. Et c'Ă©tait un trĂ©sor trop prĂ©cieux pour ĂȘtre multitude de questions viendra-t-il ? », le reconnaĂźtrai-je ? », et si on n'avait plus rien Ă  se dire ? », et s'il Ă©tait devenu un petit crĂ©tin prĂ©tentieux ? », ou aussi banal que le pĂ©quenaud moyen ? » - oui, ça pouvait arriver, mĂȘme aux Ă©lĂ©ments les plus prometteurs... et j'aurais alors non seulement perdu un ami, mais potentiellement massacrĂ© la moitiĂ© de mes meilleurs souvenirs. Bon, certes, pouvait-on appeler ami » quelqu'un dont on Ă©tait sans nouvelles depuis tout ce temps... ? Je dĂ©cidai, en mon for intĂ©rieur, que oui, et, ma foi, si vous n'ĂȘtes pas d'accord, allons en dĂ©battre autour d'un whisky. Mardi soir ? C'est notĂ©. Fin de la parenthĂšse., les questions, donc, et les doutes qui m'avaient assailli s'Ă©taient envolĂ©s dĂšs que Finlay avait surgi sous mon nez. J'attrapai un bout de citrouille qui s'Ă©tait greffĂ© Ă  ses cheveux et m'amusai Je vois que tu as trouvĂ© mon message... »J'Ă©tais bien curieux de savoir ce qu'Ă©tait devenu ma citrouille expĂ©rimentale mais jugeais que cette anecdote pouvait bien attendre encore un crois que je ne rĂ©alisais pas complĂštement que Fin Ă©tait bien lĂ , devant moi, en chair, en os et en sourire saluai tant bien que mal ses premiers mots d'un vague haussement d'Ă©paules. Je n'avais pas tellement le sentiment d'avoir changĂ©. Physiquement, j'avais probablement grandi, mĂ»ri, mais intĂ©rieurement, je me sentais toujours le mĂȘme. IdĂ©aliste, rĂȘveur, anti-conformiste et particuliĂšrement immature. On ne se refaisait pas. Mais j'avais Finlay, juste sous les yeux, et lui non plus n'Ă©tait pas exactement tel que je l'avais laissĂ©. Je dĂ©cidai pourtant qu'il Ă©tait toujours celui que j'avais connu. J'imagine que j'ai l'optimisme chevillĂ© au sourire se renforça, tout aussi brutalement Ahah ! A qui le dis-tu ? Tu t'es vu ? Et tireur d'Ă©lite, je vous prie, monsieur... ! »Je le charriai doucement, gentiment. PersuadĂ© comme je l'Ă©tais que, puisqu'aucune beuglante signĂ©e McBain n'Ă©tait venue m'incendier les oreilles, mon ami d'enfance avait toujours un solide sens de l' je l'avais toujours imaginĂ© comme une sorte de savant fou, au MinistĂšre, peut-ĂȘtre, effectivement, mais plutĂŽt du cĂŽtĂ© du dĂ©partement des SortilĂšges ExpĂ©rimentaux, Ă  s'Ă©clater, Ă  inventer de nouveaux malĂ©fices comment faire du caramel, avec du sucre mais sans casserole ; une nouvelle façon de se friser les poils du nez ou encore l'art de faire de l'origami en un seul coup de baguette. Si j'avais Ă©tĂ© un tant soit peu douĂ© en magie, je me serais peut-ĂȘtre recyclĂ© lĂ -dedans, moi aussi. Ou pas. Rester cachĂ© dans un recoin sombre du MinistĂšre jusqu'Ă  avoir homologuĂ© mes sorts... erk, non merci ! Je prĂ©fĂ©rais encore cultiver mes citrouilles. Et tant pis si je ne gagnais pas assez pour aller me dorer sur une plage entourĂ© de vahinĂ©s se dĂ©hanchant au son d'une musique suave. Si j'avais voulu devenir riche et cĂ©lĂšbre, j'imagine que j'avais foirĂ© mon plan de carriĂšre quelque part. Mais ma libertĂ© Ă©tait ma plus grande richesse. Hors de question de la brader Ă  moindre dĂ©tail » aussi, je savais que Finlay McBain serait l'un des rares Ă  le comprendre. Mais nous aurions largement assez de temps, plus tard, demain, pour dissĂ©quer nos curriculum vitae ne disais peut-ĂȘtre pas grand chose je n'ai jamais Ă©tĂ© un grand bavard. Depuis toujours, j'Ă©tais du genre pudique Ă©motionnel. Mais mes yeux qui brillaient et mon air de benĂȘt ravi devaient lui enseigner tout le plaisir que j'avais Ă  le mĂȘme nous en rendre compte, nous avions commencĂ© Ă  dĂ©ambuler cĂŽte Ă  cĂŽte, au milieu des attractions de l'Aberdeenshire Sorcerers' Festival. Je ne pouvais m'empĂȘcher de jeter des regards Ă©merveillĂ©s Ă  tous les deux stands. Quand je n'envoyai pas mes yeux fureter du cĂŽtĂ© de Finlay, comme si, juste avec mes deux prunelles, je pouvais voir au-delĂ  de sa peau. Oui, je sais, ça s'appelle la lĂ©gilimancie, mais si je foire le moindre de mes lumos, vous imaginez bien qu'allez farfouiller dans la tĂȘte des gens m'est aussi facile qu'Ă  un veracrasse d’épeler son nom en me contentais donc de sourire. Et d'admirer. LĂ  ! Un trio de nains s'Ă©tait lancĂ© dans une pantomime Ă  tomber par terre. Et lĂ  ! Un stand de tir de baguette oĂč le gagnant devait non seulement ĂȘtre le plus adroit mais Ă©galement celui qui produirait la plus belle explosion, spectacle son, lumiĂšre et fumĂ©e Ă  l'appui. Une fillette qui devait Ă  peine ĂȘtre en Ăąge de porter baguette m'avait tout l'air d'ĂȘtre bien partie pour remporter la course. Ses explosions de fumĂ©e rose baignaient nos pieds d'un halo de brume colorĂ©e. Avec nos kilts, c'Ă©tait du plus bel effet. J'applaudis ses efforts avec bonne humeur avant de me dĂ©tourner vers d'autres spectacles. Concours de bavboules gĂ©antes, barbapapas multicolores, balais tamponneurs, tout y Ă©tait ! Il ne m'en aurait fallu que le quart du quart pour rĂ©veiller mon engouement pour cette fĂȘte si particuliĂšre. J'ai toujours Ă©tĂ© un grand gamin, m'enthousiasmant pour un rien, et la prĂ©sence de Fin Ă  mes cĂŽtĂ©s semblait dĂ©cupler cet enthousiasme. Il n'y avait vraiment rien de tant palpitant Ă  participer Ă  cette fĂȘte en solo Ă©tait-il utile de prĂ©ciser que ni Sorcha, ni Mae n'avaient daignĂ© y reposer les pieds depuis des annĂ©es ? L'adolescence Ă©tait une pĂ©riode fragile oĂč elles essayaient au mieux de fermer une porte sur l'enfance. S'amuser comme des gosses dans un festival tel que celui-ci aurait probablement dĂ©truit leur rĂ©putation d'adultes en devenir... Je ne m'Ă©tais jamais souciĂ© de telles considĂ©rations. Mais il fallait aussi prĂ©ciser que le jugement des autres m'avait toujours laissĂ© passablement indiffĂ©rent.... Mais dĂšs qu'on avait un compagnon de trollerie au goĂ»t sĂ»r et Ă  l'Ăąme jeune...Je me tournai une nouvelle fois vers Finlay Tu sais, je me suis toujours dit que les Ă©t... »Finlay qui ne saurait jamais ce que je me disais toujours... Je fus brusquement interrompu par un grand craquement aux sonoritĂ©s humides, tandis que des morceaux de quelque chose explosaient de toute part. Je ne ... »Mes yeux mirent deux secondes Ă  peine Ă  identifier le quelque chose en question. Une demi-seconde supplĂ©mentaire pour Ă©clater de rire. J'aurais reconnu un potiron, mĂȘme massacrĂ© et rĂ©duit en purĂ©e, les yeux fermĂ©s. De toute Ă©vidence, nous nous Ă©tions approchĂ©s, sans mĂȘme le vouloir l'instinct, probablement de l'aire consacrĂ©e aux citrouilles-explosers. L'une d'entre elles avait juste pris la clef des champs pour venir nous saluer, allant jusqu'Ă  s’aplatir Ă  nos pieds. Et que l'on ne vienne pas me dire que les citrouilles manquent de bonnes maniĂšres. Fin, mon ami... »* Pourvu que tu n'aies pas changĂ©... *, ajoutai-je intĂ©rieurement, croisant mentalement les doigts. Eh ? Les neurones n'ont pas de doigts ? Essayez donc de me prouver le contraire... A la guerre, comme Ă  la guerre.... Byrnaaaaaaaaaaaaan Blaed * ! » Byrnan Blaed », que nous pourrions traduire par quelque chose comme brĂ»ler du souffle de la vie », Ă©tait, autrefois, notre slogan, notre cri de guerre, Ă  McBain et Ă  moi. Deux mots lancĂ©s comme un dĂ©fi, destinĂ© Ă  nous donner du courage, Ă  se lancer mutuellement des challenges invraisemblaux, Ă  signer nos plus belles aventures et Ă  saluer nos pires doigts mentaux oui, toujours eux et toujours croisĂ©s, se serrĂšrent encore plus fort. L'heure de vĂ©ritĂ© avait sonnĂ© Chiche ? » Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Be yourself, everyone else is already taken Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLe Bazarazyn AbrahamSauter vers Tucroit que je suis heureuse parce que je te dit que je vais bien, parce que je sourit, et que je suis toujours celle qui Ă  la pĂȘche, tu prĂ©tend me connaitre par coeur, mais tu te trompes, si je te dit que je vais bien, c'est simplement pour essayer de m'en convaincre moi-mĂȘme, la vĂ©ritĂ© c'est que non sa va pas, et tu sais pourquoi, sa va pas,

l'essentiel La Maison Habiague vend des ustensiles de cuisine de qualitĂ© professionnelle depuis 1864 Ă  Toulouse. La cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration est aux commandes de la boutique. La famille porte un regard unique sur l'Ă©volution des Français et de la cuisine. Des casseroles, des couteaux, des rappes Ă  fromage, des saladiers, des robots multifonctions... En pĂ©nĂ©trant dans la maison Habiague, vous rentrez dans une caverne d'Ali Baba de la cuisine. 17 000 rĂ©fĂ©rences du sol au plafond, sur deux Ă©tages, avec une multitude de rayons, en plein cƓur de Toulouse dans la trĂšs commerçante rue Alsace-Lorraine. Philippe y est vendeur depuis 1982. Aujourd'hui, le spĂ©cialiste de l'immense rayon couteaux, notamment les couteaux japonais, c'est lui. Pour lui qui a appris le mĂ©tier sur le tas, pas question de vendre un produit qu'il ne connaĂźt pas. "Nous avons reçu un nouveau blender, j'ai pu le tester chez moi pendant trois mois. Si on ne connaĂźt pas un produit, on ne peut pas en parler correctement au client". Alors que sa patronne s'affaire dans un rayon, il sourit. "Julie, je l'ai connue bĂ©bĂ©". La cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration aux commandes Aux manettes depuis 2020, Julie de Bellissen, 37 ans, n'Ă©tait pourtant pas destinĂ©e Ă  reprendre l'affaire. Ce n'est qu'aprĂšs avoir entamĂ© ses Ă©tudes de droit que la jeune hĂ©ritiĂšre a dĂ©cidĂ© de poursuivre la tradition familiale . "Petite, je venais ici les aprĂšs-midi avec mon grand-pĂšre. Je me sens bien ici". Julie est la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration Ă  diriger le magasin. La riche histoire familiale commence en 1864. LĂ©opold Habiague travaille alors chez "Buisson" et reprend la quincaillerie. Son fils Marcel Habiague lui succĂšde en 1925. Les ustensiles de cuisine font leur apparition dans les annĂ©es 30. En 1955, le gendre Georges de Bellissen prend les commandes mais conserve le nom Habiague. Puis il passe la main Ă  son fils François, le pĂšre de Julie, en 1985. Toujours Ă  la mĂȘme adresse. François de Bellissen se souvient. "Dans les annĂ©es 80, il n'y avait plus grand monde. Le centre-ville de Toulouse se vidait peu Ă  peu, tout partait en pĂ©riphĂ©rie. On ne vendait plus. Les quincailleries fermaient les unes aprĂšs les autres. Ça allait trĂšs, trĂšs mal. Aujourd'hui les banques ne nous suivraient plus". En 1992, il prend une dĂ©cision radicale arrĂȘter la quincaillerie. "J'ai dĂ©cidĂ© de dĂ©velopper la partie culinaire". Les petits ustensiles de cuisine, le petit Ă©lectromĂ©nager, la coutellerie garnissent les rayons. Au dĂ©but des annĂ©es 90, les premiĂšres plaques Ă  induction arrivent et coĂ»tent encore trĂšs cher. "C'est un crĂ©neau qu'on a pris certainement parmi les premiers". "Les Ă©missions culinaires ont redonnĂ© le goĂ»t de cuisiner. Les hommes se sont mis Ă  cuisiner de plus en plus". Au dĂ©but des annĂ©es 2010, les Ă©missions culinaires se dĂ©veloppent Ă  la tĂ©lĂ©. "MasterChef" ou "Top Chef" donnent envie aux tĂ©lĂ©spectateurs de se re mettre en cuisine. Et Habiague surfe sur la vague. Des produits comme une rĂąpe microplane, une mandoline ou un rouleau Ă  pĂątisserie en bambou partent comme des petits pains. "On Ă©tait plutĂŽt avant-gardistes sur des produits, on vendait ces produits avant les autres", explique François de Bellissen. Pendant le confinement en 2020, lorsque des millions de Français Ă©taient bloquĂ©s, l'Ă©mission de Cyril Lignac "Tous en cuisine" a relancĂ© l'intĂ©rĂȘt pour la cuisine. "Les gens savent qu'on a du choix et qu'on a un gros stock", explique François de Bellissen. Pour faire son marchĂ©, il a longtemps frĂ©quentĂ© des salons spĂ©cialisĂ©s Ă  Paris et Ă  Francfort. "On voit les tendances". Les clients ne s'y trompent pas. Sylvie vient chercher un petit couteau. Elle ne veut pas de manche en plastique, uniquement du bois. Philippe, le vendeur aux quarante annĂ©es d'expĂ©rience, la conseille. "On trouve tout ce qu'il faut pour la cuisine de tous les jours. Mes grands-parents venaient dĂ©jĂ  ici", confie-t-elle. Christine et Jean-Pierre ont besoin d'un Ă©conome. "Quand on veut de la qualitĂ©, on vient ici. On vient pour un objet, on repart souvent avec plusieurs !", avoue avec malice la retraitĂ©e. Les ustensiles du quotidien restent les articles les plus populaires. Les derniers produits Ă  la mode ? Les bocaux en verre, la mise sous vide pour mieux conserver les aliments ou encore une casserole pour cuisiner Ă  basse tempĂ©rature. Farouchement indĂ©pendant S'installer dans un centre commercial ? Habiague n'en a jamais eu envie. Ouvrir d'autres boutiques ? L'enseigne a une participation dans un magasin de Bordeaux. En revanche, Habiague a toujours voulu rester indĂ©pendant mĂȘme si elle a rejoint le groupement de commerçants "Le comptoir culinaire". Sur ses prix, François de Bellissen explique "respecter les prix recommandĂ©s tant que possible". Avec une boutique en ligne depuis dix ans, et riche de ses huit salariĂ©s, Habiague a rĂ©alisĂ© un chiffre d’affaires de 1,9 million d'euros l'an dernier. Preuve que les Toulousaines et les Toulousains aiment bien cuisiner.

Jeme lamente jour et nuit devant mon Dieu pour obtenir son secours et qu’il me parle. Mais je me rends moi-mĂȘme compte que je suis un frein Ă  cette relation que le Seigneur a permise que j
Bonjour, Actuellement en couple depuis 3 mois, je n'ai vu mon copain que 4 fois seulement avec un temps de 1 mois entier entre notre premiĂšre et deuxiĂšme rencontre. Il y a 2 semaines, nous avons eut notre premiĂšre et Ă  ce jour, unique dispute sur ce sujet lĂ , je me suis plains de le voir trop peu. Sa rĂ©ponse est qu'il essaye de faire en sorte que tout le monde soit content, entre ses potes, sa famille, moi etc, Ă  croire qu'il me voit le plus possible alors que non, car je sais trĂšs bien qu'il y a de nombreux jours ou week end oĂč il ne fait rien. Je suis une personne plutĂŽt trĂšs conciliante mais je sens que je ne vais pas supporter ce rythme encore longtemps, je n'ai pas envie de dĂ©marrer une relation comme ca. Nous en avons reparlĂ© calmement et il m'a avouĂ© ĂȘtre quelqu'un de trĂšs solitaire, savoir que sa copine l'aime lui suffit amplement, le rend heureux et il n'a pas particuliĂšrement besoin de la voir j'Ă©carte tout de suite l'hypothĂšse d'une tromperie, je sais trĂšs bien qu'il ne va pas voir ailleurs. Je ne lui manque pas puisqu'il sait que je l'aime et qu'il est trĂšs terre Ă  terre s'il s'imagine me voir et que je lui manque, il va se dire que de toute façon ce n'est pas possible donc Ă  quoi bon y penser et se faire du mal... Pour rĂ©sumer, il est trĂšs indĂ©pendant et c'est un peu lui qui choisit quand il voit sa copine, quand il en a envie ou qu'elle lui manque un peu ou alors parce qu'il se sent obligĂ© parce que bon, quand meme, dans un couple, faut se voir .... Bref maintenant je suis en face du problĂšme, si je veux rester avec lui il faut que j'accepte le fait de le voir peu, accepter le fait que, quand je le quitte, je me demande si je vais le revoir dans deux semaines, trois, 1 mois ou deux. Le problĂšme est que je suis amoureuse, si je devais le quitter je passerai Ă  autre chose mais avec du mal parce que indĂ©pendament de ce problĂšme, je suis trĂšs bien avec lui et c'est parfait. Seulement, cette mĂ©thode de couple ne marche que dans son sens, son intĂ©rĂȘt, seulement pour lui. Que faire et que feriez-vous Ă  ma place ? J'ai l'impression de vivre une relation Ă  distance. Je vous remercie d'avoir lu et de votre aide. gyE1G. 214 59 370 20 457 19 123 302 477

je suis toujours devant mais on ne me voit jamais